Aux Etats-Unis, un homme de 40 ans a voulu porter plainte contre ses parents parce qu’ils ont jeté sa collection de revues et de films pour adultes

Charlie, un homme de 40 ans vivant dans le Michigan, a récemment déposé une plainte contre ses parents. Pour quelle raison ? Tout simplement parce que ces derniers ont détruit sa précieuse collection de revues et de films pour adultes, une collection dont la valeur est estimée à près de 29 000 $.

Selon Associated Press, l’affaire remonte au mois d’avril. Suite à un divorce difficile, Charlie est revenu vivre chez ses parents en octobre 2016.

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Il est resté chez eux pendant environ dix mois, mais la cohabitation a été difficile et ses parents lui ont finalement demandé de reprendre son envol en août de l’année suivante.

Une collection dont la valeur était estimée à 29 000 $

Charlie a retrouvé un appartement et il a repris le cours de sa vie. Toutefois, les choses ont pris une toute nouvelle tournure quelques mois plus tard lorsque ses parents sont venus lui déposer ses affaires.

En fouillant dans les cartons remis par ses géniteurs, notre infortuné ami a constaté que sa collection de revues et de films pour adultes était aux abonnés absents. À sa place, la plupart des gens seraient passés à autre chose, mais cela n’a pas été le cas de Charlie.

Plutôt que de s’expliquer avec ses parents, il a en effet préféré déposé une plainte au bureau du shérif du comté d’Ottawa. D’après lui, sa collection, composée de 400 cassettes VHS, de 1600 DVD, de 160 CD et de 70 revues valait plus de 28 000 $. Il demandait donc un montant total de 86 822,16 $, un montant correspondant à la valeur de sa collection et au préjudice moral subi face à sa disparition.

Le procureur n’a pas donné suite

Il semblerait cependant que le procureur n’ait pas été sensible aux arguments présentés. Ce dernier a en effet refusé d’enregistrer la plainte et il a donc décidé de mettre un terme à l’affaire.

Charlie, de son côté, a fini par envoyer un courriel à son père en lui disant qu’il n’aurait pas dû jeter sa collection sans son accord. Ce à quoi son géniteur lui a répondu que ce choix avait été fait pour préserver “sa santé mentale et émotionnelle”. Et d’ajouter ensuite qu’il aurait fait exactement la même chose s’il avait trouvé un kilo de crack.

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