Snapchat est l’application phare du moment. La plateforme nous permet d’interagir avec nos proches, mais aussi de prendre des vidéos et des photos amusantes avec des filtres tout aussi déjantés les uns que les autres.
Si pour certains, Snapchat se limite uniquement a être un réseau social comme les autres, d’autres ont su déceler dans la plateforme un potentiel inconnu de tous pouvant les aider dans leurs affaires.
On vient d’apprendre récemment que des dealers de cannabis utilisaient le réseau social pour faire fructifier leur petit business. Une femme a été arrêtée après avoir annoncé sur son Snapchat qu’elle vendait de la weed. La plateforme aurait permis à la coupable de se faire un petit pactole grâce à des posts faisant la publicité de ces activités illicites.
Toutefois, cela n’est pas passé inaperçu auprès de la police du Nebraska où la jeune femme a été arrêtée.
Prise la main dans le sac
D’après le quotidien The Beatrice Daily Sun, la dealeuse, connue sous le nom de Madison Carlson, a été retracée par les éléments des forces de l’ordre après qu’elle se soit vantée sur son Snap en montrant un énorme sac de cannabis. Dans sa vidéo, elle incitait ses abonnés à la contacter s’ils voulaient profiter de sa marchandise.
La police du Nebraska n’a pas mis de temps à réagir face à cette publication et a immédiatement envoyé des agents au domicile de Madison Carlson pour effectuer une perquisition. Arrivés sur place, ils ont découvert deux voitures suspectes non loin du foyer de la jeune femme.
Des preuves accablantes
Sur les lieux, la police a trouvé Madison Carlson dans l’une voiture avec une mineure. Selon les enquêteurs, la voiture était pleine à craquer de weed. Dans la deuxième voiture, un jeune homme a été interpellé avec un sac de marijuana.
Interrogée par la police, Madison Carlson a avoué qu’elle venait de vendre à cet homme de la weed et qu’elle partageait les profits avec la jeune fille qui se trouvait avec elle dans la voiture quand la police est intervenue. Carlson a été arrêtée pour détention de drogue et vente de substance illicite à des mineurs.
Pour l’instant, on ne sait pas encore quelle peine encourt la femme.