God of War a été le jeu incontournable de l’année 2018, parmi les exclusivités PlayStation 4. Ce n’est pas pour rien si le jeu a été couronné lors des derniers Game Awards, devançant le succès critique et commercial Red Dead Redemption II. Histoire d’attendre la suite des aventures de Kratos, Cory Barlog, directeur de God of War, livre des détails sur la conception du jeu en interview. C’est lors d’une rencontre avec Game Informer que l’homme est revenu sur un élément incontournable de cette génération de consoles : les DLC. Cory Barlog a expliqué qu’une extension était prévue pour le jeu, mais…
Car il y a un, mais, et Cory Barlog explique donc lequel en interview chez Game Informer.
Impossible de ne pas y voir un teasing pour la prochaine aventure du célèbre personnage qui fait les beaux jours de la console estampillée Sony.
Le DLC de God of War était bien trop ambitieux selon Cory Barlog
Cory Barlog reconnaît dans sa dernière interview avoir songé à un DLC pour God of War, mais que ce dernier fût jugé comme bien trop ambitieux, capable d’être un titre à part entière.
Il faut dire que les DLC sont devenus courants dans le milieu vidéoludique et offrent parfois la véritable fin d’un titre – Techland l’avait par exemple fait avec son hit Dying Light et son extension The Following.
J’avais une idée super cool pour un DLC et je regrette de ne pas l’avoir fait, mais c’était très ambitieux. C’était tellement ambitieux qu’il aurait pu être un jeu entier. A juste titre, les équipes m’ont dit “Mec, c’est totalement fou. C’est bien trop ambitieux pour n’être qu’un DLC“.
Même si il est dommage pour les aficionados de God of War de n’avoir pu tâter ce DLC qui n’était qu’une idée dans l’esprit de Cory Barlog, impossible de ne pas y voir un teasing de Santa Monica pour God of War 2.
Un moyen de dire aux joueurs que les équipes ont toujours des idées nouvelles et ambitieuses, et que plutôt que céder à l’appel du DLC comme la concurrence, ont fait le choix de se concentrer sur une suite.
Il faut dire que God of War ne fait rien comme les jeux actuels et a même fait l’impasse sur le monde ouvert, un temps évoqué par Cory Barlog.