Alors que Techland a déjà promis de faire des annonces autour de Dying Light 2 à l’E3 2019, quelques infos sur le jeu viennent d’émerger. De quoi attiser la curiosité des fans, d’autant plus qu’il s’agit d’un titre qui s’annonce très horrifique.
Dying Light 2 figure sans aucun doute parmi les plus grands titres attendus à l’E3 2019. Si vous ne le savez pas encore, notez que cette prochaine grand-messe annuelle des spécialistes du jeu vidéo aura lieu la semaine prochaine, plus précisément du mardi 11 au vendredi 14 juin 2019. Il ne nous reste plus du coup que quelques jours avant de découvrir les nouveautés promises par les éditeurs et les développeurs.
En ce qui concerne Dying Light 2, sa date de sortie reste inconnue, mais on sait au moins qu’il fera suite à Dying Light. Un jeu vidéo d’action-aventure de type survival horror sorti initialement en janvier 2015.
Alors que nous sommes impatients d’obtenir des informations officielles de la part de Techland, les choses se précisent grâce à des découvertes faites par Gamesradar.
Une carte plus grande
En effet, d’après nos confrères, le superbe monde ouvert de Dying Light 2 reposerait sur une carte qui serait quatre fois plus grande que celle de la première version du jeu.
Mais ce n’est pas tout, car ces derniers ont également mis la main sur un concept art présentant un parc à thème délabré.
Certes, le visuel ne nous permet pas vraiment en lui seul de comprendre ce qu’il se passera dans Dying Light 2. Mais Techland a fourni quelques explications là-dessus.
Nos actions auront des répercussions sur le monde
« Les joueurs sont directement responsables de la conception du monde de Dying Light 2. Leurs choix auront une influence sur des régions, des districts et des zones de la ville. Dying Light 2 vous obligera souvent à prendre des décisions dans l’immédiat et le résultat peut être inattendu. Cette scène en particulier montre bien à quel point une bonne action peut aboutir à la destruction. Ce parc à thème, qui était autrefois un quartier animé et animé, se trouve maintenant en ruine, l’attraction surdimensionnée d’Octopus reflétant la célèbre grande roue de Pripyat, près de Tchernobyl », voilà comment le studio polonais a décrit la scène horrifiante.
