I Love Traffic

Les feux de circulation, c’est chiant. Enfin pas tous, hein, mais certains d’entre eux sont de vraies raclures. Sans rire, j’en connais quelques uns qui attendent que vous arriviez à leur pied (le singulier est voulu) pour passer au rouge. Comme ça, juste pour vous forcer soit à piler, soit à commettre une horrible infraction. Oui, ils sont parfois méchants, très méchants même et, si vous en doutez, je vous conseille de jouer à I Love Traffic.

I Love Traffic : l'écran d'accueil

Cela faisait un petit moment que je ne vous avais pas présenté de petit jeu en flash. Le plus dramatique, dans l’histoire, c’est qu’avec une moyenne de quatre billets par jour, je pourrais quand même en glisser un ou deux de temps en temps. Certes, c’est totalement lamentable et je peux vous assurer que la culpabilité est en train de m’étouffer. Enfin, pas pour longtemps puisqu’avec I Love Traffic, je vais pouvoir corriger le tir.

Car sous ce nom un peu étrange (pas tant que ça, mais faut maintenir un minimum de suspens) se cache en réalité un petit jeu de réflexion particulièrement pervers. Le genre de titre sur lequel vous passez facilement plusieurs heures sans vous en rendre compte et qu’il vaut donc mieux tester au boulot plutôt que chez soi. Et avant de commencer à balancer sur les fonctionnaires (faut dire, avec la perche que je vous tends…), rappelez-vous que tous les mecs qui passent leurs journées sur Twitter ne bossent pas forcément pour la fonction publique. Non, et à dire vrai, j’en connais quelques uns qui sont toujours connectés mais qui bossent pourtant dans le privé.

I Love Traffic : le "game over" tombe très vite

Comme quoi…

Pour en revenir au sujet de ce billet, I Love Traffic fait partie de ces jeux qui jouent avec vos nerfs. Concrètement, votre objectif est tout bête : il s’agit de gérer la circulation. Pour se faire, vous n’avez qu’une seule arme en votre possession, à savoir les feux de circulation. En un clic, vous pouvez les faire passer au vert ou au rouge. Simple comme bonjour, non ?

Oui, mais pas complètement. Car on s’en doute un peu, vous devez également faire en sorte d’éviter les accidents. Ainsi, il suffira qu’une voiture heurte malencontreusement un autre véhicule pour qu’un terrible “Game Over” s’abatte sur votre tête. Et comme chaque niveau est minuté et que vous avez un quotas de voitures à faire passer avant qu’il n’atteigne le zéro fatidique, on peut dire qu’il vaut mieux avoir de bons réflexes.

7 réflexions au sujet de “I Love Traffic”

  1. J’ai déjà joué au jeu au moment de sa sortie (il date de 1-2 mois). C’est sympathique, sauf à partir d’un certain stade le jeu se complique grandement.

    D’ailleurs, si vous voulez la solution (après avoir joué hein :P) : http://armorgames.com/walkt

    Le concepteur aurait du créer un mode “no time limit”, permettant de remplir son quota de voitures sans restriction de temps…

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  2. Ce que j’aime bien dans les billets de Fred, ce que plus il écrit, plus il s’éloigne du sujet initial – et oublie de quoi il parlait. (Je suis pas le seul à me perdre en détails. :mrgreen: )

    Ah ouais, ça se complique vite quand même ! (Trop pour moi, quand ça se multiplie trop, mon cerveau suis plus ! J’retourne à mon Missile 3D.)

    Thomas, ton lien est…. je suis dégoûté ! Ça paraît si simple sur la vidéo… :shock:

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  3. @Thomas: Merde, un ou deux mois… Déjà… Le temps passe vraiment vite. Par contre, la vidéo, franchement… Super bien foutue :)

    @nekomata: Ouaip, le hors-sujet, ça m’a accompagné durant toute ma scolarité alors ça ne m’étonne pas vraiment ;)

    Sinon, je te rassure, j’y ai pas joué longtemps à ce jeu non plus ^^

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  4. Fini il y a quelques jours, lors de son passage en home de Kongregate (uééééé Kongregate !). Pas trop compliqué, assez rapide à finir malheureusement !

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