Jared Hyams habite en Australie et il est doté d’un sens de l’humour un peu potache. Alors qu’il cherchait une signature à la fois insolite et originale, il a eu l’idée d’utiliser un tout petit pénis pour se démarquer de ses semblables. Les autorités de son pays n’ont malheureusement pas apprécié la plaisanterie et cela fait maintenant cinq ans qu’il se bat pour faire reconnaître sa signature.
A la base, tout est parti d’une simple plaisanterie. Jared s’ennuyait ferme et il avait envie de rigoler un beau coup alors il a commencé à signer tous ses documents administratifs avec un pénis.
Le plus drôle, c’est que la plupart des organismes n’y ont vu que du feu, comme en témoignent les photos que vous trouverez à la fin de l’article.
Un petit pénis en guise de signature ?
Mais voilà, un beau jour, Jared a commencé à recevoir de nombreux coups de téléphone lui disant qu’il n’avait pas le droit d’utiliser les attributs masculins comme signature.
Face à ces attaques répétées, notre héros d’infortune a donc décidé de s’inscrire à l’université et de suivre des cours de droit pour s’assurer du bon fondement de sa demande. Il a travaillé dur et il a étudié pendant des années afin de construire sa défense.
L’affaire a pris une toute nouvelle tournure lorsque sa signature a été refusée par VicRoads, une boite gérant les licences pour les conducteurs.
Ni une, ni deux, Jared a tenté de faire pression et il a alors porté plainte contre l’entreprise, sans succès. Les magistrats ont donné raison à cette dernière. Comme si cela ne suffisait pas, le Ministère du Commerce et des Affaires Etrangères a aussi refusé d’établir un passeport à son nom s’il s’évertuait à utiliser cette signature.
Pourquoi ? Tout simplement parce que ce petit pénis pouvait s’apparenter à du harcèlement sexuel. Le Ministère de la Justice a enchainé à son tour en rejetant une demande pour une vérification des antécédents criminels.
Jared ne compte pas abandonner le combat mais beaucoup de gens pensent que son combat est perdu d’avance.
Franchement, une preuve de plus que ce monde va mal…