Koornk, le Twitter slovène…

Sur la Fredzone, on ne rigole pas. Non, ici, on fait du blogging d’investigation et on fouine dans les méandres du web pour trouver des informations inédites qui vous donneront envie de revenir. Oui parce que bon, sans vous, ce ne serait plus pareil… Et c’est ainsi que j’ai décidé de vous parler de Koornk, le Twitter slovène dont personne ne parle…

Franchement, depuis un an, les blogs dédiés au web et aux nouvelles technologies ont été multipliés par cent ou deux cents. Enfin c’est une approximation. Du coup, il devient de plus en plus difficile d’avoir la primeur d’une information. En tout cas en France parce que bon, les américains ont plusieurs longueurs d’avance sur nous, hein… Et on se retrouve vite comme une pauvre Laure Manaudou, complètement démuni face à l’adversité et à cette impitoyable concurrence.

Par exemple, moi, je prépare toujours mes billets à l’avance. Soit tôt le matin, soit tard le soir. C’est comme ça, j’ai un vrai métier et je n’ai pas la possibilité de passer mes journées sur le web. Du coup, comme je les programme parfois plusieurs jours à l’avance (ça m’arrive de rédiger cinq ou six billets à la suite), ils arrivent souvent en retard, juste après que tout le monde en ait parlé. Normalement, à ce stade de mon article, vous devriez ressentir énormément de compassion à mon égard.

Le bon côté de la chose, c’est que cela m’incite à m’intéresser à des services dont tout le monde se fout. Et donc à aller fouiner du côté de l’Europe de l’Est, qui est par ailleurs de plus en plus compétitive sur le marché. Et c’est ainsi que je suis tombé sur Koornk, le Twitter slovène dont on n’arrive pas à prononcer le nom et que Philippe ou encore Sylvain n’aborderont sans doute jamais (quoi que, ce n’est pas complètement sûr…).

La première chose qui frappe, lorsqu’on débarque sur Koornk, c’est qu’il est entièrement en slovène. Et quand on connaît un peu mon niveau en langues, on comprend tout de suite que le choc a été violent. Heureusement pour moi, d’autres langues sont disponibles. On peut en effet le traduire en croate, en serbe et même en anglais. Ce qui m’a d’ailleurs permis de me rendre compte que cette dernière langue n’est finalement pas si incompréhensible que ça.

Pour en revenir au service, et mettre un terme à mes élucubrations douteuses, on peut dire que Koornk ne surprendra pas les « Twitter-Addicts ». Sans rire, l’interface est presque identique et on retrouve immédiatement nos petits. La seule différence notable, c’est que le service slovène limite le nombre de caractères à 150 contre 140 pour Twitter. Et, mine de rien, 10 caractères en plus peuvent faire la différence.

En dehors de ça, il n’y a pas grand chose à dire si ce n’est que Koornk ne marchera sans doute jamais chez nous et que je serai peut-être le seul à en parler. Comme quoi, on se raccroche à ce que l’on peut, hein…

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