Leclerc se lance dans le streaming musical

E.Leclerc a ouvert ses portes à la fin des années 40. A l’époque, l’enseigne ne comptait qu’une seule boutique mais elle s’est considérablement développée au fil des ans. Contrairement à beaucoup de ses concurrents, elle a toujours cherché à diversifier son offre et c’est précisément ce qui l’a poussé à se lancer dans la téléphonie mobile en 2007.

A présent, elle s’intéresse de près à la musique en streaming et elle vient ainsi de lever le voile sur un nouveau service similaire à Deezer, Rdio, Apple Music ou même Spotify.

Réglo Musique
E.Leclerc vient de lever le voile sur une nouvelle offre, Réglo Musique.

Réglo Musique, c’est le nom (bizarre) de l’offre, proposera globalement la même chose que toutes les autres plateformes du marché.

9,99 euros par mois et par utilisateur

Elle permettra ainsi aux abonnés d’accéder à un vaste catalogue composé de plusieurs dizaines de milliers de titres. Tous les genres musicaux seront représentés, bien sûr, et cela ira de la musique classique à la pop en passant par le rock, le folk, la country ou même le rap et le r&b.

Ils pourront écouter les pistes de leur choix, forcément, mais ils auront aussi la possibilité de les organiser en listes de lecture pour les retrouver plus facilement par la suite. La routine, en somme.

Le prix de l’offre est similaire à celui de tous les services de ce genre et Réglo Musique sera ainsi facturé 9,99 euros par mois et par utilisateur. Le bon côté de la chose, c’est que l’enseigne va lancer une offre spéciale pour toutes les personnes disposant d’une carte de fidélité.

Elle leur remboursera quatre euros par mois avec des bons de réduction et le service ne leur coûtera alors plus que 5,99 euros. Mine de rien, ça va vous permettre d’économiser une boite de Chocapic par mois.

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2 réflexions au sujet de “Leclerc se lance dans le streaming musical”

  1. Quand je vois tous les secteurs d’activités que les grands groupes avalent, je me demande vraiment ce qu’il va rester aux autres… aux petits indépendants..

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  2. Oui, je me suis mal exprimé… mais tu comprends l’idée… de grosses boites qui se lancent sur des secteurs dont ils ne sont pas issus à la base et qui écrasent d’office de plus petits par leurs moyens de communication colossaux…

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