La Xbox One vous fait de l’oeil, vous n’êtes pas loin de franchir le pas et de sortir votre carte bleue ? ARRETEZ TOUT ! TOUT, ON VOUS DIT ! Ce n’est pas le bon moment, et vous risquez fort de commettre la pire des erreurs. Pourquoi ? Parce que la console de Microsoft risque de subir bientôt une nouvelle baisse de prix et elle pourrait même passer… sous la barre fatidique des 350 euros ! Moralité, il va falloir patienter encore un peu.
Si vous avez une mauvaise mémoire, alors vous avez sans doute oublié que la Xbox One était initialement proposée à 499 euros, contre 100 euros de mois pour sa plus féroce rivale, et donc pour la PlayStation 4.
Pourquoi une telle différence de prix ? Car la belle était vendue avec le Kinect, ce qui n’était évidemment pas le cas pour la console de Sony. Microsoft voulait effectivement pousser les éditeurs à s’appuyer sur son périphérique pour donner une nouvelle dimension à leurs titres, et pour faire preuve d’un peu plus d’originalité.
Mais voilà, les ventes n’ont malheureusement pas suivi et la firme a été contrainte de changer ses plans à la dernière minute en lançant un nouveau pack n’incluant pas le Kinect, un pack vendu au même prix que la PS4.
Et maintenant, où en sommes-nous ? La situation n’est pas mirobolante et la Xbox One n’est pas parvenue à rattraper son retard. D’après les dernières chiffres en date, Microsoft aurait écoulé un peu plus de 11 millions d’unités, contre plus de 17 millions pour la console de Sony.
Microsoft n’aurait cependant pas dit son dernier mot, du moins pas si l’on en croit la version espagnoles de Xbox.com. Un étrange message est effectivement resté affiché pendant quelques heures, un message indiquant que la Xbox One était désormais en vente… à partir de 349,99 euros.
Jolie boulette, non ? Certes, et il est d’ailleurs possible qu’il ne s’agisse que d’une vulgaire erreur. Ceci étant, si vous en avez la possibilité, il vaudra peut-être mieux attendre encore un peu avant d’investir et avant de vider votre PEL.
MAJ : L’information vient d’être démentie, mais bon…