Test du Galaxy Note 9

Le Galaxy Note 9 a été présenté en plein cœur de l’été. Fidèle à ses habitudes, Samsung a en effet attendu le mois d’août pour faire toute la lumière sur sa nouvelle phablette haut de gamme. Voici son test.

Samsung m’a effectivement fait parvenir à mon retour de vacances un Galaxy Note 9 et une Galaxy Tab S4 flambant neufs. Leur prise en main a été publiée dans la foulée, mais elle s’arrêtait au design et aux accessoires de ces appareils.

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Le moment est désormais venu de passer à leur test. Dans cette vidéo, votre humble serviteur ira beaucoup plus loin.

Après être revenus sur le design et l’ergonomie du terminal, nous serons donc amenés à nous pencher ensemble sur son écran, son processeur et son autonomie. Puis, nous passerons à tout ce qui a trait à la photo et la vidéo avant de terminer avec ses fonctions.

Design & Ergonomie

Le Galaxy Note 9 ressemble beaucoup à son prédécesseur. Comme lui, il est ainsi pourvu d’une coque en verre et d’une armature métallique.

Les bordures sont teintées de la même couleur que la plaque arrière et cela confère un aspect très monolithique à l’ensemble, un aspect renforcé par les lignes rectangulaires du boîtier.

L’ensemble est plutôt bien équilibré et les finitions sont impressionnantes. En revanche, le terminal est un peu lourd et encombrant en main.

Car en effet, la dalle du terminal est encadrée par des bordures assez épaisses. En plus des deux bandeaux situés au-dessus et en dessous de la dalle, on trouve aussi des marges aussi marquées sur les côtés. Ici, les bordures sont même un peu plus imposantes que sur le Galaxy Note 8.

Du coup, et bien le Note 9 est beaucoup plus encombrant qu’un Oppo Find X et ce alors même que les deux appareils proposent exactement la même diagonale.

L’écran est incurvé, bien sûr, et il recouvre une partie des bordures du boîtier sans pour autant totalement les faire disparaître. C’est un peu dommage, mais nous verrons plus loin que la dalle est d’excellente qualité.

L’ergonomie est désespérément classique pour sa part. Les deux touches du volume sont placées sur la tranche gauche, au-dessus du bouton consacré à Bixby. Le bouton de mise sous tension se retrouve de l’autre côté et le lecteur d’empreintes est placé à l’arrière, sous le module photo.

La nouvelle position du lecteur le rend beaucoup plus accessible. L’index viendra en effet se positionner à sa surface sans le moindre effort. C’est évidemment une bonne chose, mais on aurait aimé que le constructeur aille un peu plus loin en nous gratifiant d’un lecteur d’empreintes directement intégré à la dalle comme celui du Vivo NEX S.

Il faudra visiblement attendre le Galaxy S10 pour que ce soit le cas.

La trappe d’accès aux cartes se trouve sur la tranche supérieure et elle regroupe seulement deux emplacements. Il faudra donc choisir entre faire cohabiter deux lignes téléphoniques ou une ligne téléphonique et une micro SD.

La connectique est regroupée sur la tranche inférieure. Le connecteur est au format USB Type-C et la prise casque n’a pas été supprimée. Les inconditionnels du filaire seront donc aux anges.

Le stylet n’a pas changé de place. Son logement est toujours placé au même endroit et il suffira d’appuyer sur le bout du stylet pour le faire sortir de son logement. L’accessoire ressemble comme deux gouttes d’eau au modèle précédent, mais il va un peu plus loin que ce dernier.

Le S-Pen du Galaxy Note 9 apporte en effet deux nouveautés. Il intègre une batterie d’appoint et une puce Bluetooth. L’utilisateur pourra donc l’utiliser comme une télécommande pour piloter son téléphone à distance. Nous verrons plus loin ce qu’il propose de ce côté.

Le module photo est toujours placé à l’horizontale et il regroupe toujours deux optiques et deux capteurs. La pièce en elle-même n’est pas très jolie et l’optique centrale est ainsi nettement plus grande que l’optique située à sa gauche. Ce n’est certes qu’un détail, mais on parle tout de même d’un téléphone dont le prix tourne autour des 1000 €.

Disons que ça fait un peu tache, pour le coup.

Le flash est toujours de la partie, de même pour le moniteur de fréquence cardiaque. Il ne sera donc pas nécessaire d’investir dans une montre ou un bracelet connecté pour mesurer son rythme cardiaque.

Sur le principe, c’est bien, mais dans les faits ce capteur est peu utile puisque l’utilisateur devra penser à coller son doigt dessus pour mesurer les battements de son cœur. Ce qui risque d’être compliqué en pleine action, que ce soit durant un footing, une balade en vélo ou même des longueurs à la piscine.

De manière plus globale, le Galaxy Note 9 est finalement un produit très classique. Il n’y a pas de gros changements par rapport à la version précédente et c’est finalement son principal problème.

Derrière, les constructeurs sont de plus en plus agressifs et ils n’hésitent plus à innover. Nous en avons d’ailleurs eu l’exemple avec le triple capteur photo du Huawei P20 Pro ou avec la caméra frontale popup du Vivo NEX S.

J’aurais vraiment aimé que Samsung sorte de sa zone de confort.

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Écran, Processeur & Autonomie

Le Galaxy Note 9 est équipé d’un écran de 6,4 pouces de diagonale.

Sans surprise, Samsung a opté pour une dalle de type Super AMOLED, avec une définition en QHD+. L’appareil sera donc en mesure d’afficher du 2560 x 1440.

Attention cependant, car par défaut, la résolution est configurée en Full HD. Il faudra donc aller faire un tour dans les options de la surcouche pour profiter de la pleine définition de la dalle.

Samsung dispose d’un certain savoir-faire en matière d’écran et ce Galaxy Note 9 le prouve totalement. L’écran est objectivement superbe avec un contraste très présent et une luminosité suffisante pour être exploitable en plein soleil. Difficile de trouver mieux, donc.

Surtout que derrière, nous pourrons la configurer comme bon nous semble. Samsung propose plusieurs modes d’écran et il est même possible de prendre manuellement la main sur les rouge, vert et bleu pour configurer la teinte de la dalle selon nos goûts.

Des options que l’on ne trouve pas forcément partout.

Alors bien sûr, pour une utilisation courante, cette dalle est remarquable, mais c’est surtout au niveau du multimédia que l’écran du Galaxy Note 9 nous a collé une immense claque. Regarder des séries est un véritable régal sur un tel écran et les personnes qui passent le plus clair de leur temps coincées dans les transports en commun seront sans doute très sensibles à cet argument.

Côté processeur, Samsung a opté pour un Exynos 9810 et la puce est couplée à 6 ou 8 Go de mémoire vive et à 128 ou 512 Go de stockage suivant les versions. En ce qui me concerne, Samsung m’a fait parvenir le modèle de base.

Je me suis bien entendu empressé de le tester avec AnTuTu. Je ne suis pas convaincu par la pertinence de ces solutions, mais je sais que certains d’entre vous ne jurent que par ça.

Sachez donc que le Galaxy Note 9 a obtenu très exactement 241947 points avec la solution, ce qui le place plutôt vers le peloton de tête.

Dans la vie de tous les jours, l’Exynos 9810 tourne aux petits oignons et il n’a aucune difficulté à faire tourner les titres les plus gourmands de la boutique. Le contraire aurait de toute manière été étonnant puisque c’était déjà le cas du Galaxy S9+. Les gamers en auront donc pour leur argent et ils auront de quoi se faire plaisir.

PUBG Mobile, par exemple, tournera en ultra sans le moindre souci et avec les effets au top. Il en ira bien entendu de même de tous les autres titres présents sur la boutique de Google.

Côté batterie, Samsung a opté pour une capacité de 4000 mAh. Le Galaxy Note 9 va donc un peu plus loin que son prédécesseur en la matière… mais cela ne change pas grand-chose au final. Avec une utilisation soutenue, le terminal tiendra environ une journée. Il sera possible de monter à une journée et demie en faisant attention ou à deux jours en activant les économiseurs d’énergie.

C’est pas mal, mais je m’attendais à beaucoup mieux compte tenu de la capacité de la batterie. Pour le coup, le terminal m’a finalement assez déçu de ce côté.

Les habitués le savent, j’ai pris l’habitude de tester les téléphones qui me passent entre les mains avec nPerf afin de déterminer la puissance de leur modem. Le Galaxy Note 9 a eu droit au traitement habituel. Avec ma SIM Sosh et depuis la région parisienne, j’ai donc obtenu un débit descendant moyen de 109 Mb/s, un débit ascendant moyen de 22 Mb/s et une latence de 25 ms. Le tout avec un score de 84 % en vidéo et de 95 % en web et un résultat total de 110228 points.

Étonnamment, parfois le débit a tendance à s’écrouler, mais mes tests ont montré que cela arrivait surtout en intérieur.

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Photo, Vidéo & Son

Le Galaxy Note 9 ne réinvente pas la roue. L’appareil est en effet équipé d’une caméra dorsale regroupant deux capteurs de 12 millions de pixels chacun. Le premier est couronné d’une optique à ouverture variable – ouverture comprise entre f/1.5 et f/2.4) – et le second s’accompagne d’un téléobjectif équipé d’un zoom 2x.

Samsung a été le premier constructeur à équiper un téléphone d’une optique à ouverture variable. Et si le constructeur l’a fait, ce n’est pas uniquement pour nous en mettre plein les yeux. En gros et pour schématiser, lorsque vous ouvrez un objectif, alors ce dernier récupère plus de lumière, mais la profondeur de champ devient aussi plus étroite.

A contrario, lorsque vous diminuez son ouverture, le capteur récupère moins de lumière, mais la zone de netteté est plus importante.

Lorsque vous prenez un portrait, il est généralement (mais pas toujours) préférable d’ouvrir votre optique afin de faire ressortir votre sujet en créant un beau flou d’arrière-plan autour de lui. En revanche, pour la photo de paysage, il vaut mieux privilégier la zone de netteté.

Grâce à cette optique à ouverture variable, le Galaxy Note 9 est donc censé offrir le meilleur rendu dans toutes les conditions possibles.

Dans les faits, le Galaxy Note 9 est capable d’obtenir des images de très bonne qualité avec un beau piqué et une dynamique assez impressionnante. La colorimétrie tombe juste et elle est  plus naturelle que sur un P20 ou un P20 Pro.

L’IA intégrée semble également bien fonctionner et elle est ainsi capable de bien différencier les sujets photographiés. En tout, le terminal est d’ailleurs capable de reconnaître un total de 20 scènes différentes. Samsung a d’ailleurs poussé le concept assez loin et le terminal affichera ainsi un avertissement lorsqu’il estime que notre photo est trop floue ou encore que l’objectif est sale.

Et en basse luminosité, alors ? Le Galaxy Note 9 s’en tire bien et il semble même s’en sortir un peu mieux que le S9+. L’entreprise a visiblement beaucoup travaillé sur le traitement des images et c’est une bonne chose puisque le terminal sera du même coup capable d’obtenir de bons résultats en intérieur ou à la nuit tombée.

Enfin ça, ça vaut surtout pour le capteur principal et donc pour celui couronné d’une optique à ouverture variable. Le zoom montrera rapidement ses limites compte tenu de la faible ouverture de son objectif.

Côté vidéo, on a l’embarras du choix au niveau des formats et le terminal pourra même filmer en 4K à 60 images par seconde ! C’est assez fou et ce mode nous permettra de réaliser de très beaux ralentis en post production. La stabilisation m’a aussi collé une énorme claque. L’appareil est capable de supprimer la plupart des tremblements intempestifs et il sera tout à fait possible de réaliser un beau travelling à main levée sans forcément passer par un gimbal.

Sur ce terrain là, le Galaxy Note 9 surpasse la plupart de ses concurrents et les vidéastes mobiles devraient donc pouvoir s’en donner à cœur joie.

L’application étant identique à celle du S9+, je vous renvoie vers mon test de cet appareil pour vous ce qu’elle propose.

La caméra frontale fonctionne très bien et elle est capable d’obtenir de très bons résultats en basse luminosité ou en intérieur grâce à son optique ouvrant à f/1.7. On retrouve aussi pas mal de modes, à commencer par un mode portrait capable de gérer un flou d’arrière-plan autour de nos traits. C’est vraiment pas mal. Les Emoji RA sont aussi présents, mais ils ne m’ont pas laissé un souvenir impérissable.

Côté son, le Galaxy Note 9 est pourvu d’un double haut-parleur. La pièce est élaborée par AKG et elle s’articule autour d’un premier haut-parleur situé sur la tranche inférieure et un second haut-parleur collé au-dessus de l’écran.

Sur le papier, l’offre semble solide, mais le second haut-parleur manque malheureusement de puissance. Le son est donc comme déséquilibré, avec une spatialisation des plus perfectibles. Le rendu sonore en lui-même n’est pas forcément mauvais, mais les basses sont très présentes. Peut-être même un peu trop.

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Fonctions & Surcouche

Le Galaxy Note 9 est livré sous Android 8.1 Oreo. C’est complètement incompréhensible, mais Samsung a fait l’impasse sur Android 9.0 Pie et il faudra donc attendre une prochaine mise à jour pour profiter des dernières fonctions de la plateforme.

La bonne nouvelle, c’est que le Galaxy Note 9 propose tout de même des fonctions poussées.

Et justement, pour ce test, on va surtout se focaliser sur deux d’entre elles : le S Pen et le DeX. Pour le reste, je vous invite à aller consulter ma vidéo du Galaxy S9+ puisque la surcouche est la même.

Le Galaxy Note 9 est donc livré avec un S Pen, exactement comme tous les autres modèles de la gamme. Si l’accessoire semble inchangé, il apporte tout de même deux nouveautés importantes : il est en effet équipé d’une puce de communication Bluetooth et de sa propre batterie.

Et ça, on va voir que ça change finalement pas mal de choses.

Les fonctions de base restent inchangées. En retirant le S Pen de son logement, nous verrons apparaître une demie roue sur le côté droit de l’écran, une roue regroupant plusieurs raccourcis différents. Il sera bien entendu possible de modifier la liste, mais on aura par défaut des icônes pour accéder aux messages animés, à l’outil de traduction, à PENUP, à l’agrandissement, à Bixby Vision ou même à l’ouverture rapide.

Je ne vais pas passer tous ces modules en revue, bien entendu, mais sachez tout de même que les messages animés vous permettront de dessiner des motifs et de générer des animations pour les envoyer à vos contacts. L’outil de trad vous donnera pour sa part la possibilité de traduire des mots ou des phrases à la volée et PENUP se pose pour sa part comme une espèce de réseau social consacré aux dessins effectués avec le stylet.

La plateforme vous permettra en effet de partager vos plus belles créations avec la communauté et vous pourrez même suivre des exercices pour vous exercer. J’aime beaucoup cette dimension pédagogique d’ailleurs.

Quant à l’agrandissement et l’ouverture rapide, ces outils vous permettront d’agrandir des zones de l’écran ou bien de réduire l’application ouverte dans un petit carré rangé dans un coin de l’écran.

Mais ce n’est pas le plus intéressant. Grâce à sa batterie et sa puce Bluetooth, le S Pen peut aussi être utilisé comme une télécommande pour piloter le Galaxy Note 9 à distance.

Et là, tout dépendra bien entendu de l’application ouverte. Pour la caméra, par exemple, un appui simple sur le bouton vous permettra de déclencher et un appui double de basculer du module arrière à la caméra frontale. Si vous ouvrez la galerie, alors une pression unique aura pour effet de faire défiler les photos vers la droite tandis qu’un appui double vous permettra de revenir sur une photo précédente.

Il est également possible de piloter l’enregistreur vocal avec le stylet. En appuyant une fois sur le bouton, vous pourrez soit démarrer l’enregistrement, soit le mettre en pause. Et ainsi de suite.

Samsung a bien fait les choses et l’utilisateur gardera le contrôle de sa configuration. Il n’aura ainsi qu’à se rendre dans les options de la surcouche pour configurer les raccourcis de toutes ses applications.

D’une manière plus générale, je trouve que les nouvelles fonctions liées au S Pen sont plutôt bien pensées et elles apportent réellement une plu-value au terminal, que ce soit pour les vlogueurs ou même les vidéastes amateurs.

L’autre grosse fonction du Galaxy Note 9, c’est bien entendu le DeX Mode, un mode d’utilisation grâce auquel nous pourrons utiliser le terminal comme un client léger. Et là, attention, car il y a du nouveau. Samsung a en effet développé une nouvelle version de son outil et elle change pas mal de choses.

Pour profiter du DeX Mode, il ne sera ainsi plus nécessaire de passer par la station dédiée. Il suffira en effet de connecter un adapteur HDMI sur le port USB Type-C du terminal et de brancher l’autre extrémité du câble à l’écran.

Alors à ce propos, sachez que si Samsung propose son propre adaptateur, un adaptateur proposé à 37 € chez Amazon, il est tout à fait possible de se tourner vers n’importe quel autre accessoire du même genre. Perso, j’ai pris un adaptateur USB Type-C / HDMI chez Choetech et il m’a coûté moins de 14 €.

Au premier lancement, le DeX vous prendra par la main et il vous expliquera toutes les bases au travers d’un assistant.

La navigation au sein de ce mode est cependant assez intuitive. Pour déplacer le curseur, il suffira de déplacer le doigt sur l’écran du Galaxy Note 9. Un appui simple vous permettra de sélectionner un élément et un appui avec deux doigts d’accéder aux options contextuelles de l’élément visé.

Mais ce qui est fort, c’est que le stylet fonctionne aussi en mode DeX et il sera ainsi possible d’utiliser l’accessoire pour déplacer le curseur ou… interagir avec les applications. Les raccourcis évoqués un peu plus haut continueront en effet de fonctionner et vous pourrez donc utiliser l’accessoire pour faire défiler des photos ou des slides. Les formateurs devraient être très sensibles à cet argument.

En revanche, tout n’est pas parfait. Sur un écran wide comme pour LG 34 pouces, l’image sera ainsi étirée en largeur et la faible définition de la sortie gâchera un peu l’expérience. Et ce n’est pas étonnant puisque le mode DeX prend uniquement en charge le Full HD et il ne peut donc pas afficher une définition en QHD.

Oui et mine de rien, ça gâche un peu l’expérience. Compte tenu de ces limitations, le DeX mode ne sera pas réellement en mesure de remplacer notre ordinateur. Pas pendant de longues heures en tout cas.

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En Conclusion

Et on en vient à la conclusion de ce test.

Niveau design, on est d’accord, la formule commence à dater. Encore plus dans la mesure où en face, on a des concurrents très très innovants. Je pense notamment à Oppo et Vivo puisque ce sont eux qui se sont le plus distingués dernièrement.

Rien à dire sur l’écran et la puissance de calcul. L’Exynos 9810 fait bien le job et la dalle du Galaxy Note 9 est une des plus belles du marché. L’autonomie m’a un peu déçu. Avec une batterie de 4000 mAh, je m’attendais à tenir un peu plus longtemps. Dommage.

En revanche, j’ai été pas mal bluffé par le module photo. Je ne m’attendais à rien de neuf de ce côté-là puisque la pièce reprend les caractéristiques de celle du S9+, et j’ai été agréablement surpris pour le coup. Le Galaxy Note 9 assure en photo, mais aussi en vidéo avec une stabilisation tout simplement hallucinante. Gros pouce en l’air aussi pour les formats vidéos supportés. Pouvoir tourner en 4K à 60 ips avec un smartphone, c’est vraiment royal.

En revanche, ce qui manque vraiment, c’est un profil de couleurs FLAT pour faciliter l’échantillonnage. Samsung, si tu m’entends.

Et au niveau des fonctions. J’ai été très déçu que Samsung fasse l’impasse sur Android P. Si Sony est capable de livrer ses flagships avec la dernière version de la plateforme, alors le Coréen devrait être en mesure d’en faire autant.

Côté fonction, le fait de pouvoir utiliser le stylet comme une télécommande est indéniablement un plus, mais le mode DeX manque clairement de finition. Le coup de la définition me reste en travers de la gorge. Le truc, c’est que je m’étais déjà fait cette réflexion du temps du Galaxy S8. Là, Samsung, il y a des efforts à faire.

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14 réflexions au sujet de “Test du Galaxy Note 9”

  1. Faux ( a propos que le note 9 fera tourner tous les jeux du playstore en ultra) , j’ai un OnePlus 6 donc 8go de RAM sd845 enfin bref et essayez de faire tourner “Radiation City” en ultra sans que le jeu sois injouable pq c’est ça la question, ok le téléphone peut ( peut être) le faire tourner en ultra mais au maximum 20 FPS :)
    Faites des tests sur ce jeu la prochaine fois :)

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