Test du NAS QNAP TS-251+

QNAP a lancé un peu plus tôt dans l’année un nouveau NAS pensé à la fois pour les particuliers et pour les petits groupes de travail, le TS-251+. Flexible, il est capable de remplir différentes tâches et s’il peut être utilisé comme un simple support de stockage, il peut aussi faire tourner des machines virtuelles et même diffuser des fichiers multimédias en s’appuyant sur des solutions comme Plex.

QNAP m’a fait parvenir un exemplaire de son produit afin de me le faire tester. Après ma prise en main du mois dernier, le moment est donc venu de passer au vif du sujet et au test de la bête.

Qnap TS-251+ : image 1
Le NAS possède deux baies pour les disques durs.

Cet article se focalisera exclusivement sur les performances brutes de l’appareil, mais aussi sur les fonctions proposées par le système embarqué. Il s’arrêtera en plus sur sa mise en fonction.

En revanche, il n’évoquera ni son design ni sa connectique puisque ces points ont été abordés dans la prise en main du NAS.

Caractéristiques Techniques

Elles avaient été évoquées dans mon article précédent mais il est important de les rappeler pour remettre les choses au clair.

Le QNAP TS-251+ est équipé d’un processeur Celeron composé de quatre coeurs cadencés à 2 GHz. Comme toutes les puces Intel, il propose aussi un burst mode et il peut ainsi atteindre les 2,42 GHz sur une courte période en cas de besoin.

Il est épaulé par un GPU Intel HD Graphics et par 2 Go de mémoire vive en DDR3L. Du moins pour le modèle qui m’a été prêté. QNAP propose aussi une autre variante équipée cette fois de 8 Go de RAM. Le bon côté de la chose, c’est que les deux slots sont accessibles.

Il est donc tout à fait possible de passer de 2 Go à 8 Go de mémoire vive en bricolant.

L’appareil intègre aussi 512 Mo de mémoire flash. Elle sera utilisée par la plateforme. Le stockage final dépendra évidemment des disques placés dans les deux baies du NAS. J’ai d’ailleurs été gâté car Western Digital m’a fait parvenir deux WD RED de 6 To chacun.

Nous verrons plus loin qu’ils se sont révélés extrêmement véloces.

J’avais promis de ne pas en parler mais il faut tout de même signaler que le TS-251+ est doté d’une connectique complète avec deux ports USB 3.0, deux ports USB 2.0, deux ports Ethernet Gigabit, un récepteur infra-rouge et une sortie HDMI. Il sera donc parfaitement possible de le brancher sur une télévision et de l’utiliser comme un media center.

Le NAS est disponible chez pas mal de revendeur, à un prix tournant autour de 339 €. Notez en outre qu’il est vendu avec une télécommande.

Qnap TS-251+ : image 2
Les LED nous donnent des indications sur l’état du NAS. Il est possible de régler leur luminosité.

Mise en place

Il n’est pas nécessaire d’être un administrateur système ou un virtuose de l’informatique pour mettre en place le NAS et le configurer.

La première chose à faire, après l’avoir sorti de sa boîte, ce sera de monter les disques dans les baies et de brancher le NAS au routeur domestique et à une prise secteur. Les câbles et les vis sont fournies par le constructeur et il ne sera donc pas nécessaire de repasser à la caisse.

La configuration de TS-251+ ne pose pas plus de problèmes. En réalité, QNAP a développé un outil entièrement dédié à cette question : QFinder Pro. Il peut être directement téléchargé sur le site du constructeur et il est disponible à la fois sur Windows, OS X et Linux.

Fait intéressant, l’outil est aussi proposé sous la forme d’une extension pour Chrome et les Chromebooks.

Après l’avoir installée sur le navigateur, ce dernier ouvrira une fenêtre listant les différents NAS présents sur le réseau, avec leur adresse IP. Il suffira de cliquer sur le nom du NAS pour accéder à son interface d’administration. Difficile de faire plus simple.

La première fois que vous accèderez à la plateforme, le NAS lancera un assistant intelligent pour vous guider à travers tout le processus d’installation.

Il faudra simplement suivre les différentes étapes proposées et donc définir le nom du NAS, le mot de passe administrateur, le fuseau horaire, l’adresse IP ou encore les services actifs. Là, eh bien tout dépendra de votre parc.

Le TS-251+ est de toute manière capable de communiquer avec tous les systèmes et il intègre ainsi SMB, AFL, FTP, CIFS ou même File Station.

Fait intéressant, l’assistant vous demandera aussi d’activer les applications de votre choix, et plus précisément : Photo Station, Music Station, iTunes Server, DLNA, Download Station ou encore Video Station. Il faut tout de même savoir que la plateforme intègre aussi une boutique dans laquelle vous trouverez des dizaines d’applications tierces, des applications comme Kodi, Plex ou même Apache.

Après cette étape, l’assistant vous demandera de choisir votre RAID. Il vous proposera quatre configurations différentes :

  • Unique : Les disques durs seront utilisés comme des volumes uniques. C’est la configuration la plus basique mais elle n’est pas sans danger. Si un disque rend l’âme, toutes les données stockées dessus seront en effet perdues.
  • JBOD : Les données seront écrites en séquence et le volume global fera la taille des deux disques. Là encore, les données seront perdues en cas de plantage.
  • RAID 0 : Les deux disques seront agrégés pour former un seul volume dont la capacité de stockage sera équivalente à celle des deux disques. Là encore, les données sont écrites directement sur les disques, sans redondance.
  • RAID 1 : La formule la plus sécurisée. Les données seront stockées sur les deux disques en même temps. Si l’un d’entre eux vient à défaillir, alors vous pourrez toujours récupérer vos données.

Par défaut, le TS-251+ sélectionnera le RAID 1 mais vous êtes évidemment libre d’opter pour la configuration de votre choix. Ensuite, eh bien vous trouverez deux options : une pour activer le balayage de bloc défectueux et l’autre pour activer le chiffrement du volume.

Si vous activez la seconde option, alors le disque sera chiffré en AES 256.

L’étape suivante va simplement récapituler toutes les informations saisies par l’utilisateur. Il suffira de cliquer sur le bouton “Appliquer” pour valider l’opération et lancer la configuration du NAS.

Cette étape durera à peine quelques minutes.

YouTube video

Qnap TS-251+ : image 3
La connectique est complète et on trouvera même une sortie HDMI pour connecter le NAS à un écran ou à un téléviseur.

Performances

Les performances d’un NAS dépendent de nombreux critères différents.

Il faut en effet prendre en compte la configuration matérielle du NAS, mais également la rapidité de ses disques et l’état du réseau.

A la base, le TS-251+ est censé atteindre les 224 Mb/s en écriture et les 224 Mb/s en lecture lorsque le chiffrement n’est pas actif et lorsqu’on s’appuie sur les deux ports Ethernet intégré à l’appareil. Ce sont en tout cas les mesures indiquées sur le site du constructeur.

Comme mentionné plus haut, Western Digital m’a fait parvenir deux disques de 6 To chacun, des disques appartenant à la gamme RED. Ils ont donc été spécialement optimisés pour les NAS et ils intègrent tous les deux la technologie NASware, une technologie qui permet d’améliorer les performances et la fiabilité des disques.

Je connais assez bien cette gamme. J’en ai en effet six à la maison, répartis dans deux NAS différents avec deux disques de 3 To d’un côté et quatre de 8 To de l’autre. Je n’ai pas rencontré le moindre problème jusqu’à présent alors que tous ces disques sont très sollicités.

Le premier NAS me sert en effet à faire mes sauvegardes (quotidiennes) et le second fait office de serveur Plex. Ils bossent pas mal, donc, parce qu’on regarde beaucoup de films de vacances à la maison.

Mais revenons-en à nos moutons.

En ce qui me concerne, les deux disques durs ont été configurés en RAID 1 et le chiffrement n’a pas été activé. Le NAS a été branché sur un seul port du routeur de la maison, un Freebox Server.

J’ai fait ensuite une sélection de plusieurs fichiers organisés en deux lots différents :

  • Fichiers volumineux : 10 fichiers pesant plus de 4 Go.
  • Fichiers standards : 10 fichiers pesant moins de 500 Mo.

J’ai effectué plusieurs transferts à partir de mon MacBook Air, chrono en main, avant de calculer une moyenne.

Pour les gros fichiers, le TS-251+ a atteint les 68,2 Mo/s en écriture et les 110,11 Mo/s en lecture. Il s’est avéré plus efficace avec les fichiers standards. Là, il a tapé dans les 81,8 Mo/s en écriture et dans les 113,1 Mo/s en lecture.

Il y a aussi un autre point qui m’a agréablement surpris. Le NAS est extrêmement silencieux. Ce n’est pas un détail anodin car l’appareil pourra aussi trouver sa place à côté de la télévision.

Qnap TS-251+ : image 4
Le TS-251+ est très discret, il n’aura aucun mal à se faire oublier.

Plateforme & Fonctions de Base

Le NAS embarque une interface d’administration, accessible depuis n’importe quel navigateur par le biais d’une simple adresse IP.

En arrivant dessus, l’utilisateur se retrouvera face à un écran d’accueil constitué de plusieurs éléments. L’interface est claire et aérienne. Pour accéder aux options de configuration de l’appareil, il faudra simplement cliquer sur le bouton de connexion et saisir le nom d’utilisateur et le mot de passe définis lors de l’étape précédente.

L’appareil nous renverra ensuite vers le tableau de bord et il affichera un assistant dans la foulée afin de nous présenter l’interface et ses fonctions de base. S’il détecte une nouvelle version du firmware, alors il affichera une fenêtre volante pour nous proposer de la télécharger et de l’installer.

La procédure est simple et transparente. Le NAS se chargera de tout à notre place. Lorsque ce sera fini, il redémarrera et nous serons alors déconnectés pendant quelques minutes.

L’écran d’accueil est assez simple à prendre en main.

QNAP a placé un long bandeau horizontal en haut de la page. Il donne accès à pas mal de choses et notamment aux notifications, aux informations liées au compte, à l’aide, à la recherche ou même aux différentes applications en cours d’exécution.

D’autres boutons sont placés en bas de la page. Ils renvoient vers les applications éditées par le constructeur. QNAP a aussi placé une horloge dans un coin.

Les fonctions propres au NAS sont regroupées dans plusieurs modules représentés par des icônes très visuelles, des icônes rappelant un peu celles de nos plateformes mobiles. Il sera d’ailleurs possible de les réorganiser à la volée en s’appuyant sur une ou plusieurs pages différentes.

Il suffira de cliquer sur l’élément de notre choix pour voir apparaître les options associées :

  • Panneau de contrôle : Les options de base sont toutes regroupées ici. Des options liées à la sécurité, au matériel, au réseau, aux notifications ou même aux privilèges. Si vous avez quelque chose à régler sur l’appareil, c’est dans ce module que ça se passera.
  • Photo Station : C’est ici que vous allez pouvoir créer/gérer votre bibliothèque de photos. L’outil est plutôt complet et il intègre même un système de reconnaissance faciale pour identifier facilement les visages de nos amis ou des membres de notre famille.
  • Music Station : Il propose un peu la même chose, mais pour la musique. Là encore, l’interface est à la fois simple et bien pensée. En outre, il sera parfaitement possible de diffuser de la musique sur un appareil connecté comme l’Apple TV, le Chromecast ou même une enceinte Bluetooth.
  • Video Station : Même chose que précédemment, à ceci près que les photos et la musique laissent place aux vidéos. Tout comme pour Music Station, il sera possible de diffuser un contenu sur un appareil distant en quelques clics.
  • HybridDesk Station : Ce module est un peu particulier. Grâce à lui, il sera en effet possible d’utiliser le NAS… comme un ordinateur. Il faudra simplement le connecter à un écran et à un clavier. Cette configuration sera idéale si vous utiliser l’appareil comme media center en le connectant directement à votre téléviseur.
  • Download Station : Votre passion, c’est de télécharger des distributions Linux toute la journée ? Le Download Station est clairement fait pour vous. Il sera en effet possible de l’utiliser pour télécharger des fichiers torrents sans avoir besoin de passer par un ordinateur.
  • File Station : Ce module porte plutôt bien son nom et il se présente ainsi sous la forme d’un gestionnaire de fichier. Il vous permettra de naviguer sur les disques durs du NAS mais également d’accéder aux liens de partage.
  • Gestionnaire de Sauvegarde : Le TS-251+ peut être utilisé comme système de sauvegarde bien sûr et il est ainsi compatible Resync, RTRR et Time Machine. Il sera en plus possible de le répliquer à distance vers un autre appareil ou même d’envoyer certains fichiers sur Amazon S3 ou sur un disque dur externe connecté à l’appareil.
  • myQNAPCloud : Grâce à ce module, vous allez pouvoir créer votre nuage personnel, un nuage accessible depuis le réseau local ou depuis l’extérieur. Là, eh bien vous pourrez retrouver vos précieux fichiers depuis n’importe quelle région du monde.
  • QSync Central Station 2.0 : Difficile de faire plus explicite comme nom, n’est ce pas ? Ce module fait effectivement la part belle à la synchronisation et il devrait par conséquent être très utile aux entreprises et aux petits groupes de travail, d’autant qu’il pourra s’interfacer avec myQNAPCloud.
  • Surveillance Station : Tout le monde n’en aura pas forcément l’utilité mais ce module permettra à l’utilisateur d’utiliser le NAS comme système de surveillance. Il est en effet compatible avec VMS.
  • Antivirus : Ce module n’est pas activé par défaut mais il suffit d’un clic pour le mettre en fonction. Lorsque ce sera fait, alors il analysera tous les fichiers transitant sur le NAS pour s’assurer qu’ils ne contiennent pas de malwares.
  • L’App Center : Si ces modules ne vous suffisent pas, alors l’App Center devrait beaucoup vous intéresser. Il va en effet vous permettre de personnaliser le fonctionnement de votre NAS en installant de nouvelles applications.

QNAP s’est donc montré très généreux, comme vous pouvez le voir. Grâce à ces différents modules, le NAS sera en effet capable de répondre à la plupart des besoins courants. Il ne se limite cependant pas à ces seules fonctions non plus.

Virtualisation, Multimédia & Fonctions Avancées

Le TS-251+ intègre plusieurs modules axés multimédia mais il est tout à fait possible d’installer des solutions tierces en se rendant dans l’App Center. Des applications comme Kodi par exemple, ou Plex.

J’ai jeté mon dévolu sur la seconde. J’utilise en effet Plex depuis plusieurs années maintenant et il me semblait par conséquent logique de tester les capacités du NAS avec un outil qui me correspond.

Je n’ai pas été déçu par l’expérience. Le TS-251+ m’a donné entière satisfaction sur ce point et il s’est montré performant en toute occasion, même pour les fichiers en 1080p.

Et la 4K ? Je n’ai pas pu tester, faute de téléviseur compatible.

Container Station m’a aussi fait forte impression. Pour le décrire en quelques mots, cet outil permet de créer des conteneurs LXC et Docker afin de faire tourner des systèmes et des applications spécifiques. Grâce au module, il est ainsi possible de déployer un Wordpress, un GitLab, un Joomla, une Ubuntu ou même une Fedora en quelques clics, sans aucune connaissance technique.

Pour aller plus loin, il est aussi possible d’installer Virtualization Station et de déployer ainsi des machines virtuelles complètes sur le NAS. Là encore, la procédure est à la fois simple et transparente.

En outre, il sera parfaitement possible d’accéder à ces machines virtuelles depuis une tablette tactile ou un smartphone, en passant par l’interface d’administration du NAS. Mieux, toutes ces machines pourront être importées ou exportées en quelques clics grâce au module. Il sera en outre possible de définir les ressources allouées et même de sauvegarder des snapshots pour pouvoir revenir en arrière en cas de défaillance.

Attention cependant car si vous souhaitez profiter de cette fonction dans les meilleures conditions possibles, il sera préférable d’opter pour le TS-251+ doté de 8 Go de mémoire vive. Après, rien ne vous empêche non plus d’acheter une nouvelle barrette dans le commerce.

Le Q’Center peut s’avérer très utile lui aussi car il permettra aux utilisateurs de prendre un peu de recul sur leur NAS et de retrouver ainsi à un seul et même endroit toutes les informations concernant l’appareil, avec des journaux système et des graphiques montrant son utilisation.

Le constructeur a en plus eu la bonne idée d’équiper sa plateforme d’un outil de recherche intelligent du nom de Qsirch. Accessible par le biais de l’App Center une fois encore, il permettra de retrouver facilement un document en saisissant son nom ou… un terme relatif à son contenu. L’outil sera effectivement capable de lire le contenu d’une lettre pour savoir si elle correspond à votre requête.

En Conclusion

Le TS-251+ est un appareil extrêmement flexible. Il peut être utilisé pour stocker et/ou partager des fichiers, certes, mais il ne se limite pas à cette seule fonction et il sera parfaitement possible de l’utiliser comme un media center.

Si les applications livrées par défaut avec le NAS ne vous suffisent pas, il suffira d’ailleurs de vous rendre dans l’App Center pour trouver et installer de nouveaux outils, et personnaliser ainsi le fonctionnement de l’appareil.

Et puis, il y a toutes les applications en lien avec la virtualisation. Tout le monde n’en aura pas forcément l’utilité mais elles peuvent s’avérer très utiles dans certains cas et notamment lorsqu’on souhaite tester certains produits ou certains services.

Cette polyvalence est un atout indéniable et si vous recherchez une solution  à la fois souple et flexible, alors vous pouvez foncer tête baissée.

qnap

15 réflexions au sujet de “Test du NAS QNAP TS-251+”

  1. Dans les modes RAID il manque une option “non-RAID/RSync” permettant de na pas avoir un RAID temps réel mais d’activer un mode RSync entre les deux disques car si une erreur survient sur la structure des données (ou erreur humaine), avec un RAID 1 temps réel c’est mort des deux côtés alors que si on fait une réplication programmée genre toutes les nuits à minuit alors si je flingue quelque chose dans la journée je peux revenir en arrière grâce au disque secondaire, et ça protège aussi contre les conséquences d’une panne matérielle d’un des deux disques puisque l’autre aura une copie des données du premier avec au pire un RTO de 24H

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  2. Bonjour,
    Merci pour la review, c’est instructif.
    Etant à la recherche d’un NAS évolutif et qui restera performant sur le long terme, j’envisage de me l’offrir pour Noël.
    Une question cependant pour les utilisateurs QNAP : Si j’utilise le port HMDI pour le relier à une barre de son, est-il possible de lancer de la musique en pilotant le NAS depuis un smartphone (Android) ?
    Le but de la manipulation est de ne pas allumer la TV à chaque fois que je souhaite écouter de la musique…
    Merci d’avance pour votre temps ! :)

    Répondre
  3. Bonjour. En effet la review était plutôt instructive, même un an après a fortiori pour un novice comme moi. Merci donc. J’avais du coup quelques petites questions mais une principale. Je cherche à exploiter convenablement ma très grande bibliothéque multimédia ( voire trop grande) :-) Mon serveur Plex est actuellement installé sur un macbook avec un SSD de 256 Go. Ce qui limite un peu la taille de la bibliothèque multimédia. Du coup, le reste de mes films, photos et musiques est sur un disque externe branché sur ma TV via un WD TV. Cela manque forcément d’ergonomie. On pourrait même dire que c’est un peu le bordel. Je pense donc à investir dans un NAS pour y installer mon serveur Plex. D’après vous, est ce la solution la plus économique et fiable ? Et si oui, un modèle plus léger que celui de la review conviendrait il pour ce projet (un TS251 voire en dessous ? Sachant que je compte le relier en hdmi à la TV et que donc le transcodage ne va sans doute pas m’être utile ( du moins si j’ai bien compris la finalité du transcodage) :-)
    Si vous pouvez m’éclairer un peu plus là dessus, ça pourrait être cool. Merci.

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