Test du LG G Flex

Le LG G Flex a été officiellement présenté par son constructeur en octobre dernier, mais il aura fallu attendre le début du mois de février avant de pouvoir mettre la main dessus. Il est effectivement en vente chez Orange depuis quelques jours, et LG a eu l’extrême gentillesse de me faire parvenir un exemplaire de son terminal juste avant le week-end. Moralité, si vous vous demandez ce qu’il vaut sur le terrain, et bien la suite de cet article devrait retenir votre attention.

Si vous êtes un lecteur régulier, alors vous savez sans doute que ce n’est pas la première fois que le Flex passe entre mes mains. Il ne s’agissait cependant pas du modèle final et il restait encore deux ou trois petites bricoles à boucler. Cette fois, les choses sont différentes et nous allons donc pouvoir nous occuper très sérieusement de son cas.

LG G Flex : photo 1
La boite du LG G Flex, qui nous met tout de suite dans l’ambiance.

Caractéristiques Techniques

La principale particularité du LG G Flex, c’est son écran flexible. Présenté pour la première fois durant l’IFA 2013, ce dernier fait 0,44 mm d’épaisseur pour un poids n’excédant pas les 7,2 grammes, et il peut surtout être plié dans un rayon de 700 mm. La structure du Flex est nettement moins souple, bien sûr, mais elle n’est pas totalement rigide non plus. Si vous appuyez sur les extrémités du terminal, il sera parfaitement possible de le remettre à plat.

Mais qu’en est-il de sa fiche technique ?

  • Ecran OLED flexible de 6 pouces.
  • Définition de type HD 720p, soit du 1280×720.
  • Densité de pixel de 245 ppp.
  • Processeur Qualcomm Snapodragon 800 cadencé à 2,26 GHz.
  • GPU Adreno 330.
  • 2 Go de mémoire vive.
  • 32 Go de mémoire interne, sans port pour cartes micro SD.
  • Capteur BSI de 13 millions de pixels.
  • Enregistrement de vidéos en Full HD 1080p à 60 images par seconde.
  • Caméra frontale de 2,1 millions de pixels.
  • WiFi 802.11 a/b/g/n/ac, Bluetooth 4.0, GPS, NFC, DLNA, Miracast.
  • Accéléromètre, baromètre, gyroscope, magnétomètre, détecteur de proximité.
  • Prise casque, port Micro USB 2.0.
  • Batterie non amovible de 3 500 mAh.
  • Dimensions : 160,5 x 81,6 x 7,9 mm.
  • Poids : 177 grammes.

Ce n’est pas vraiment une surprise, le LG G Flex se positionne sur le haut de gamme et sa fiche technique ressemble ainsi aux terminaux les plus en vogues à l’heure actuelle. Je pense notamment au Sony Xperia Z1, au LG G2 et au Samsung Galaxy Note 3 bien que ce dernier dispose de 3 Go de mémoire vive. C’est plutôt une bonne chose compte tenu de la puissance de calcul de ces derniers.

Seul bémol, l’espace de stockage ne pourra pas être étendu et le terminal ne sera ainsi pas en mesure d’accepter des cartes micro SD. Je trouve ça vraiment dommage. Cela dit, nous pourrons toujours nous consoler avec les 32 Go de mémoire intégrés au terminal, largement suffisants pour installer nos applications et nos jeux.

LG G Flex : photo 2
L’écran de verrouillage du LG G Flex, évoluant en fonction de l’heure et de la météo du jour.
LG G Flex : photo 3
L’arrière du LG G Flex, avec ces fameux boutons faisant désormais office de signature pour tous les terminaux produits par LG.

Design & Ergonomie

Le LG G Flex est un terminal totalement atypique. En premier lieu, il impressionne par ses dimensions. Massif, il est plus imposant que le Galaxy Note 3, tout en étant nettement plus compact que le Xperia ZU. Si vous êtes allergique aux phablettes, c’est certain, le Flex ne vous conviendra guère. Même chose pour les adeptes des pantalons très serrés, et très près du corps.

La courbure de son écran n’est pas aussi marquée qu’on pourrait le croire. Il n’est pas plat, c’est certain, mais ses lignes n’ont rien de choquant. En réalité, ce n’est qu’une simple question d’habitude.

Sinon, et bien le Flex ressemble beaucoup au LG G2 (testé ici). Sur la face avant, en dehors de son monumental écran, nous allons retrouver la caméra frontale, les détecteurs habituels et le haut-parleur. Aucun bouton dans ce coin, ni même sur les tranches de l’appareil. Le constructeur a effectivement regroupé tous les contrôles habituels à l’arrière de la coque, dans le prolongement du module photo et de son flash. C’est donc ici que nous pourrons mettre la main sur les deux boutons dévolus au contrôle du volume et sur le bouton de mise sous tension.

Puisqu’on en parle, sachez que nous aurons également droit à un haut-parleur plus bas, un haut-parleur directement découpé à même la coque.

Cette dernière n’étant pas amovible, LG a placé sur la tranche gauche du terminal une trappe donnant accès à la carte SIM. Pour l’ouvrir, il faudra se munir de l’accessoire livré avec le Flex, ou d’un simple trombone.

La prise casque et le port Micro USB sont intégrés à la tranche inférieure. Là encore, la configuration est la même que sur le G2.

Point important, l’arrière de la coque profite d’un revêtement spécial capable de se réparer tout seul et de faire disparaître les rayures les plus superficielles. Si vous voulez en savoir un peu plus sur le sujet, le mieux c’est encore d’aller consulter cet article.

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LG G Flex : photo 4
Le bouton central situé au dos du LG G Flex fait aussi office de LED de notifications.
LG G Flex : photo 5
Le haut-parleur du LG G Flex, capable de délivrer un son plutôt net.

Ecran, Puissance & Autonomie

Comme indiqué un peu plus haut, l’écran du LG G Flex atteint les six pouces, pour une définition de type HD 720p. Est-ce que c’est suffisant ? Tout dépend de vos exigences, et de l’utilisation que vous voulez faire de votre terminal. Pour trainer sur les réseaux sociaux, faire des recherches sur internet et se détendre avec quelques jeux, c’est largement suffisant. En revanche, si vous consommez beaucoup de films et de séries et que vous êtes un inconditionnel de la haute définition, alors la question pourra se poser.

Non, le vrai problème de cet écran, de mon point de vue, c’est son grain. C’est assez étrange mais lorsqu’il est sous tension, on voit comme des traces situées derrière la plaque de verre. Elles ne sont pas forcément très visibles, mais elles donnent un drôle d’aspect à la plateforme, un peu comme si son interface était faite de papier. Si l’on ajoute à cela les icônes volontairement minimalistes de la surcouche du Flex, on obtient un effet assez étrange.

Au début, j’ai pensé que c’était mon exemplaire qui était en cause mais il semblerait, d’après mes recherches, que ce “problème” touche tous les Flex actuellement disponibles sur le marché.

Qu’en est-il de sa puissance ? Sans grande surprise, le Snapdragon 800 remplit parfaitement son office et il s’en sort avec tous les honneurs. Je ne joue pas beaucoup, faute de temps, mais en ce moment je passe pas mal de temps sur Dead Trigger 2 à poutrer du vilain zombie. Le titre est aussi réactif sur le Flex que sur le Note 3 (testé ici), et ce alors même que ce dernier embarque 3 Go de mémoire vive. La lecture de vidéos ne pose aucun problème non plus, y compris en haute définition.

Vous aimez les solutions de benchmarking ? Voilà les résultats obtenus par le Flex avec les tests habituels :

  • BenchmarkPi : 107
  • Quadrant : 19 667
  • Linpack : 685 637
  • An3DBench : 7 869
  • GeekBench : 877 / 2 190

Mais le véritable atout du terminal, finalement, c’est son autonomie. Le bougre fait encore mieux que le Note 3 sur ce terrain-là. Il m’a été livré le vendredi, rechargé à bloc (merci Laure) et il a tenu jusqu’à lundi matin sans passer par la case secteur, pour une utilisation normale avec du courrier électronique, des réseaux sociaux, du Feedly et quelques parties endiablées en prime, sur Dead Trigger 2 forcément.

Ces derniers temps, j’ai eu l’occasion de tester pas mal de smartphones et aucun n’arrive à la cheville du Flex sur ce terrain-là.

LG G Flex : photo 6
La délicate courbure du LG G Flex.
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La délicate courbure du LG G Flex. Sous un angle différent.

Photo & Vidéo

Ce n’est pas vraiment un secret de polichinelle, LG a toujours accusé un certain retard en matière de photo et de vidéo sur ses smartphones. Le constructeur est cependant parvenu à renverser la tendance avec le LG G2 (testé ici) et ce dernier m’avait fortement impressionné pour le coup.

Le LG G Flex s’inscrit dans la droite lignée de son prédécesseur et c’est plutôt une bonne nouvelle.

Pour accéder à l’appareil photo, il faut commencer par lancer l’application associée puisque le terminal n’intègre pas de déclencheur physique. L’outil est assez minimaliste mais on retrouve toutes les options habituelles. Différents boutons situés en bas nous permettront de lancer la capture, de basculer vers l’enregistrement de vidéos ou d’accéder à la dernière image capturée. Les réglages se font par l’intermédiaire de boutons situés en haut de l’écran. Il sera ainsi possible de modifier le fonctionnement du flash (auto, désactivé, activé), de changer de caméra ou de sauter d’un mode à l’autre.

De ce côté-là, nous avons l’embarras du choix avec douze modes différents : normal, prendre et détourer, ton dynamique, panorama, panoramique VR, rafale, portrait lissé, double appareil photo, prise en rafale, auto intelligence, sports ou nuit.

Il est aussi possible d’accéder à des réglages avancés et donc de mettre en place la capture vocale, de changer la luminosité, de définir la mise au point (auto, manuel, recherche des visages), de changer le format de prise de vue (4160×3120 4:3, 4160×2340 16:9, 3264×2448 4:3, 1280×960 4:3), de définir la sensibilité (max 800 ISO), de choisir la balance des blancs, d’activer des effets de couleur, de programmer un minuteur, de mettre en place le géomarquage et ainsi de suite.

Pour les vidéos, nous aurons moins de modes (normal, déformation, double enregistrement, zoom de suivi) et moins de réglages. Ceci étant, nous pourrons jongler entre plusieurs formats en notamment entre l’UHD (3840×2160), le FHD60 (1920×1080 à 60 fps), le FHD (1920×1080 à 30 fps), le HD (1280×720) et le QVGA (320240).

Et la qualité alors ? Tout dépend évidemment des conditions lumineuses, comme souvent. Lorsque la lumière est au rendez-vous, le Flex s’en sort à merveille et il fait aussi bien que la plupart des terminaux haut de gamme du marché. En revanche, dans les conditions les moins évidentes, on doit faire face à des clichés assez bruités, plus que sur le Xperia Z1 (testé ici) par exemple. Ce n’est pas forcément étonnant puisque ce dernier dispose d’un ensemble de technologies spécifiques.

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La trappe donnant accès à la carte SIM du LG G Flex.
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Le port Micro USB du LG G Flex.

Ecosystème LG

LG, comme tous les constructeurs du marché, a donné vie à un véritable écosystème basé sur Android avec, à la clé, des fonctions spécifiques et plusieurs applications pensées à la fois pour les néophytes et les utilisateurs les plus exigeants. L’idée étant bien évidemment de se distinguer de ses concurrents. Le LG G Flex présente ainsi de nombreuses similitudes avec le LG G2, mais aussi quelques différences portant essentiellement sur son interface.

Je pense notamment aux icônes des applications qui font la part belle au “flat design” ou à l’interface de certaines applications, plus sobres et plus efficaces.

En marge de ces changements d’ordre esthétique, on retrouve toujours les mêmes particularités.

L’écran de verrouillage

Il ressemble comme deux gouttes d’eau à celui du LG G2. L’expression est plutôt bien choisie, d’ailleurs, car il évoluera en fonction des conditions métrologiques et en fonction de l’heure. Le temps sur la capitale étant ce qu’il est, celui de mon Flex est resté très humide tout au long de cette semaine, avec une rapide éclaircie mercredi, en fin de matinée.

Comme sur les autres terminaux sous Android, l’écran de verrouillage du terminal est divisé en deux zones. En haut, nous retrouverons les widgets tandis que le système de déverrouillage sera intégré dans la partie basse de l’écran. LG en a profité pour apporté quelques modifications au widget de l’horloge, et les minutes apparaissent ainsi sous l’heure. Ce n’est qu’un détail, bien sûr, mais le résultat n’est pas vilain à regarder.

Le centre de notifications

Il est simple, complet et bien construit. En quelques instants, il sera possible d’accéder aux réglages rapides (aucune limite en nombre) mais aussi aux QSlide Apps dont on parlera un peu plus bas dans l’article. Toujours au même endroit, on trouvera aussi des réglettes pour modifier la luminosité de l’écran ou le volume sonore. Un bouton nous permettra d’ailleurs de prendre un peu plus la main sur ces réglages.

Et puis, bien sûr, il y a les notifications elles-mêmes, générées par les applications installées sur le terminal. Certaines d’entre elles apparaîtront sous la forme de bulle dans la partie haute de l’écran.

Les QSlide Apps

On vient d’en parler, sans pour autant expliquer leur fonctionnement. Il est donc impératif de réparer cette odieuse injustice.

Les QSlide Apps, comme leur nom ne l’indique pas forcément, vont nous permettre de lancer certaines applications en mode fenêtré et donc de les afficher par dessus d’autres applications. Très pratique sur l’écran de 5,2 pouces du G2, encore plus sur celui du Flex puisque ce dernier atteint les 6 pouces.

Les applications lancées de cette façon peuvent être déplacées librement sur l’écran et il est également possible de les redimensionner à la volée ou encore de réduire leur opacité. Lorsqu’on n’en a plus besoin, il suffit de taper sur un bouton pour les fermer.

Intéressant mais tout n’est pas rose pour autant et ces QSlide Apps ont finalement deux défauts majeurs. Il n’est pas possible d’en ouvrir plus de deux, et seules certaines des applications développées par LG sont compatibles avec ce mode. Sur ce point, je préfère le système de Sony, bien plus flexible.

Les applications mises de côté

Le multitâche intégré à Android est plutôt performant mais LG a souhaité le compléter à l’aide d’une fonction intelligente et bien pensée : les applications mises de côté. Elles étaient déjà présentes sur le G2 mais on peut brièvement rappeler leur fonctionnement, juste pour le principe.

L’idée est assez simple puisqu’il suffit de lancer une application et d’effectuer un balayage horizontal à l’aide de trois doigts pour la faire disparaître et la ranger sur la gauche de l’écran. On peut ensuite en faire de même avec deux autres applications. Pour les faire réapparaître, il suffira de faire le geste inverse. Elles viendront alors se placer dans un classeur virtuel et nous n’aurons plus qu’à taper sur l’onglet de notre choix pour afficher de nouveau l’application associée. Si besoin est, nous pourrons aussi les fermer en tapant sur le bouton dédié à cet effet.

Les applications

Le LG G Flex est livré avec une bonne dizaine d’applications différentes. Je ne vais pas toutes les passer en revue, je préfère effectivement me concentrer sur celles qui ont le plus retenu mon attention comme le très bon utilitaire de restauration et de sauvegarde.

Ce dernier va effectivement nous permettre de sauvegarder l’intégralité du contenu de notre terminal sur le cloud du constructeur. Il sera même possible de planifier des sauvegardes automatiques pour ne plus avoir à nous en soucier. Ensuite, lorsque nous changerons de téléphone nous n’aurons plus qu’à lancer la restauration pour récupérer nos données. A condition de rester chez LG bien sûr. Le mieux ce sera donc de s’appuyer à la fois sur l’outil du constructeur et sur notre compte Google.

Le multimédia n’est pas en reste et nous trouverons ainsi sur le terminal des applications pour gérer notre musique, nos vidéos et nos photos. Ces applications sont simples, épurées et elle font ce qu’on leur demande. Il sera même possible de configurer notre Dropbox pour accéder à son contenu depuis l’outil. Attention au volume de données par contre parce que ça peut les ralentir considérablement.

J’ai beaucoup aimé le calendrier aussi. Il est bien pensé et le fait qu’il soit découpé en deux éléments nous fera gagner un temps précieux. Gros coup de coeur pour Life Square, qui va vous permettre de retrouver à un seul et même endroit les publications que vous avez envoyées sur les réseaux sociaux ou même les photos prises par l’intermédiaire de votre terminal.

Les paramètres

La fenêtre des paramètres de la surcouche LG est plutôt intuitive et on trouve facilement ce qu’on cherche grâce aux quatre onglets situés vers le haut. En quelques instants, on pourra ainsi modifier les paramètres de partage de connexion, activer un profil audio, changer les touches tactiles, accéder afficher l’état de la mémoire interne ou même scruter à la loupe les dépenses énergétiques du terminal.

L’agencement est très proche de celui du G2 et on retrouve, globalement, les mêmes fonctionnalités.

Avec deux ou trois petites choses en plus. Comme l’arrivée d’une nouvelle option située dans le menu dédié aux touches tactiles, une option qui vous permettre de les faire disparaître lorsque vous lancez certaines applications pour passer en mode plein écran. Très pratique pour ceux qui consomment beaucoup de vidéos et qui aiment bien jouer de temps à autres à quelques titres.

Comme le G2, nous avons également droit à deux autres bricoles très intéressantes : l’écran intelligent et les vidéos intelligentes. Elles consistent simplement à laisser l’écran actif lorsque l’utilisateur est penché dessus, ou à mettre la lecture d’un clip en pause lorsqu’il détourne le regard. Ca marche assez bien.

Autre fonction propre au LG G Flex cette fois, le réglage automatique des couleurs. A quoi ça sert ? A économiser de l’énergie en réglant la luminosité de l’écran… en fonction des couleurs de l’image projetée. Je l’ai découverte un peu tard et je n’ai pas eu l’occasion de me faire une réelle idée sur son utilité.

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LG G Flex : photo 10
OMG mais que vient faire cette vilaine rayure sur la coque du Flex ?
LG G Flex : photo 11
L’écran d’accueil du LG G Flex.

Conclusion

Le moment du verdict est enfin arrivé. Le verdict, et aussi le moment où il faut aborder la question de l’écran. A la base, sa courbure me laissait très perplexe. J’avais même peur de me sentir gêné une fois le terminal dans ma poche. Cela n’a pas été le cas, et en réalité, cette fameuse courbure n’est pas une mauvaise chose. Elle facilite l’immersion dans les vidéos et dans les jeux, tout en réduisant considérablement les effets de reflets.

Le seul bémol, finalement, ce sont ces fameuses traces évoquées un peu plus haut. Elles ne nuisent pas forcément à la lisibilité de l’écran, on finit très vite par les oublier, mais elles sont tout de même présentes et cela risque de freiner certains mobinautes.

Concernant la puissance de calcul brute du terminal, aucune mauvaise surprise, ce dernier fait aussi bien que tous les terminaux haut de gamme du moment. Le Snapdragon 800 s’en sort avec tous les honneurs, y compris dans les jeux les plus gourmands. De ce côté-là, donc, le Flex n’a absolument pas à rougir face à la concurrence.

Et puis, il y a son atout maître, celui qui risque de vous pousser à sortir votre carte bleue : son autonomie. Elle m’a littéralement bluffé. Je pense qu’il est difficilement possible de faire mieux à l’heure actuelle.

Reste la question du prix de vente. Avec un tarif moyen tournant autour de 800 euros pour la plupart des boutiques traditionnelles (je laisse volontairement de côté les ValueBasket & Co), le Lg G Flex n’est pas à la portée de toutes les bourses. Ceci dit, vous pouvez aussi le trouver chez Orange à 289,90 euros à condition de prendre un forfait chez l’opérateur.

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