Windows 10 est désormais installé sur plus de 200 millions de terminaux à travers le monde. Il commence donc à trouver sa place chez les particuliers mais également en entreprise et c’est précisément ce que prouve la toute dernière étude menée par Spiceworks. D’après elle, environ 18% des entreprises auraient commencé à déployer le système sur leurs postes.
Avant toute chose, il est important de préciser que les mesures ont été effectuées sur les entreprises clientes de Spiceworks. Ces chiffres sont donc à prendre avec un peu de recul car toutes les sociétés n’utilisent pas forcément ses services.
D’après cette étude, donc, environ 18% des entreprises auraient commencé à migrer sur Windows 10. Cela représente sept points de plus par rapport au mois d’octobre.
18% des entreprises clientes de Spiceworks auraient commencé à tester Windows 10
Attention cependant car ces sociétés ne se sont pas encore lancées dans des déploiements massifs. Seuls 40% des clients de Spiceworks ont installé le système sur trois terminaux ou plus.
En d’autres termes, les entreprises sont surtout en train de le tester.
Autre point et pas des moindres, Windows 10 serait surtout présent dans les entreprises de taille moyenne et donc dans les entreprises de 250 à 500 salariés. Les grandes entreprises (plus de 500 employés) n’auraient pas encore franchi le pas.
Spiceworks a voulu en savoir un peu plus et ses commerciaux ont demandé aux clients de la boite ce qu’ils pensaient de Windows 10. La plupart d’entre eux ont indiqué vouloir adopter le système sous un ou deux ans, et 40% comptent l’installer avant la fin de l’année.
Microsoft avait aussi publié quelques chiffres au début de l’année et l’éditeur avait ainsi révélé que le système était en cours de déploiement chez 76% de ses clients.
A l’époque, il dénombrait aussi 22 millions de terminaux sous Windows 10 dans le secteur de l’entreprise et de l’éducation.
Si vous voulez en savoir plus, sachez que l’étude de Spiceworks est disponible sur cette page, avec plein de jolis graphiques en prime. La note publiée par Microsoft est accessible par le biais de ce lien.