20 % de croissance attendue en 2020 pour le secteur du e-commerce selon ce rapport IBM
Alors que l’économie mondiale n’a cessĂ© de se dĂ©grader depuis la crise du COVID-19, la situation sanitaire a toutefois favorisĂ© l’essor de certains secteurs comme celui de l’e-commerce. Un rapport de l’IBM US Retail Index (IBM) indique en effet que les achats en ligne ont connu une remarquable croissance depuis la crise.
Ainsi, selon les rĂ©sultats de cette Ă©tude IBM relayĂ©e par TechCrunch, les acteurs du commerce Ă©lectronique peuvent s’attendre Ă une croissance de 20 % d’ici la fin de l’annĂ©e. Autre fait marquant, les experts ont soulignĂ© qu’à ce rythme, le taux de croissance de l’e-commerce prĂ©vu pour l’annĂ©e 2025 sera atteint dès le mois de dĂ©cembre.
Toutefois, une diminution des ventes dans les magasins traditionnels est de plus en plus constatĂ©e. Selon les experts, il est grand temps pour les commerçants de se tourner vers de nouveaux canaux de vente pour mieux rĂ©pondre aux besoins des consommateurs. D’autant s’ils ne veulent pas voir leur business disparaĂ®tre.
Un bond de 5 ans sur la transition vers les achats numériques
La crise sanitaire due Ă la pandĂ©mie de COVID-19 aura eu des effets catastrophiques sur les magasins physiques et les boutiques traditionnels qui ferment peu Ă peu Ă cause d’une manque d’affluence. En parallèle, de nouvelles habitudes d’achat, en ligne, prennent le pas dans les comportements de consommation. Et ce depuis le dĂ©but de cette annĂ©e, selon le rapport IBM.
Ainsi, toujours selon ce nouveau rapport, un déclin des revenus, allant de 25 % à 75 % a été constaté chez les marchands traditionnels au cours des deux premiers trimestres de cette année. Des taux qui pourraient évoluer en fonction de la maîtrise de la pandémie et diminuer à 60 % en décembre.
En contrepartie, le commerce électronique devrait croître de près de 20 %. Une forte croissance qui se traduit par une accélération « du passage des magasins physiques aux achats numériques d’environ cinq ans ».
Il est temps de privilégier la « stratégie omnicanale »
Toujours d’après cette Ă©tude, ce sont principalement les produits alimentaires, l’alcool et les matĂ©riaux de rĂ©novation et de bricolage qui sont actuellement les plus demandĂ©s en ligne.
Pour accompagner ce changement de mode de consommation, dans son rapport, IBM invite les commerçants Ă opter pour une stratĂ©gie omnicanale afin de s’adapter Ă l’évolution de la demande et ainsi pouvoir « rester compĂ©titifs dans ce nouvel environnement ».
De grandes entreprises comme Walmart (grande distribution) et Amazon (e-commerce) ont d’ailleurs adoptĂ© le traitement omnicanal comme stratĂ©gie de vente et ont connu respectivement 97 % et 40 % de croissance des ventes.
Reste maintenant Ă savoir si cette orientation des consommateurs vers l’e-commerce est juste temporaire ou est susceptible de durer dans ce contexte incertain dĂ» Ă la pandĂ©mie.
Je fais tous mes achats en ligne, mĂŞme pour l’alimentation oĂą j’ai une prĂ©fĂ©rence pour Leclerc et Carrefour drive, je n’ai jamais portĂ© de masque car je considère cela comme une humiliation et une atteinte Ă ma virilitĂ©.Les malades sont les seuls responsables et coupables de leur Ă©tat, qu’ils apprennent Ă se soigner et qu’ils cessent d’accuser las autres, surtout les enfants et la jeunesse qu’on est en train de sacrifier pour notre bien-ĂŞtre, on leur a tout volĂ©, ils ont maintenant du mal Ă trouver un sens Ă la vie!