Titre n’ayant de cesse de s’enrichir et de déchaîner les passions, Vampire Survivors recèle de détails plus ou moins visibles et à l’importance relative. Lumière sur trois d’entre eux qui, s’ils ne feront pas tous de vous un meilleur survivant à dents longues, devraient au moins vous permettre de briller le temps d’une publication sociale.
Avant toute chose, on peut brièvement revenir sur le principe de Vampire Survivors, simulateur d’esquives à 2,39 euros praticable sur PC avec un seul joystick dans 95% du temps. Le but étant d’atteindre les 30 minutes de survie à coups d’améliorations obtenues via l’expérience laissée par la plupart des ennemis. Rapide, non ?
Rien que sur la page d’accueil du jeu, un élément visuel peut en perturber certains. Vampire Survivors peut déjà être considéré comme un plagiat, ou au mieux un titre très inspiré de Magic Survival, issu du milieu mobile. Les emprunts ne se limitent cependant pas au concept, ni même aux sprites des personnes et objets se rapprochant ainsi énormément de ce que l’on voit dans les épisodes 2D de Castlevania. Non, car la pose du personnage féminin à droite du logo est reprise de la jaquette de Bayonetta 2.
Vampire Survivors : un Runetracer manipulable ?
Les deux autres informations dont il va être question ont, quant à elles, trait aux mécaniques du jeu. Sachant que les coffres laissés par les boss sont les seuls moyens d’accéder à une évolution d’arme, il pourrait être tentant de ne les activer qu’après avoir atteint un ou plusieurs niveaux maximaux. Problème : le contenu de ces coffres est-il défini au moment même de leur apparition ? Soyez rassurés, car un coffre obtenu alors que votre ail est au niveau 4 vous octroiera son évolution si vous revenez au niveau 8 et avec l’objet de soutien adéquat.
Dernier détail et possiblement le plus obscur, il concerne le Runetracer. Probablement l’arme la plus prisée de tout le jeu, elle permet en effet de toucher quantité d’adversaires en assez peu de temps. Son usage est notable dans la Bibliothèque car l’espace étant clos, le Runetracer peut y rebondir pour encore plus de dégâts. Mais dans la Forêt Folle ou les Acres Verts, l’environnement n’a pas de limites ni de bords et le danger peut donc venir de tous côtés. Vous pourrez néanmoins remarquer que le Runetracer change quand même de direction s’il atteint un bord de l’écran. Encore faut-il que le joueur soit à même de provoquer ce rebond… et qu’une telle manipulation soit davantage pratique qu’esthétique.