Parfois, quand j’ai envie de devenir fou, je jette des châtons morts dans la Seine pour contribuer au réchauffement climatique. Parfois, je suis plus raisonnable et je me contente d’ouvrir mon navigateur web et de me rendre sur Netvibes, histoire de me griller un peu les nerfs optiques. Bon, si vous ne le saviez pas c’est désormais fait mais le fait est que je ne porte pas forcément ce service dans mon coeur. Et pourtant, il nous réserve quelques surprises, comme l’éditeur de thèmes qu’il vient tout juste d’intégrer.
Il est possible que je sois injuste avec Netvibes. Pour tout vous dire, au début, lorsque je n’étais encore qu’un jeune blogueur bourré de malice, il m’arrivait souvent de l’utiliser. Oserais-je le dire, c’était même mon agrégateur favoris. Oui, mais je n’avais alors qu’une vingtaine de flux et tout était nettement plus simple. Après, ça s’est compliqué, j’ai commencé à vraiment faire de la veille et, au bout de 150 flux, je ne pouvais déjà plus. Toutes ces boîtes qui se frôlaient et qui se chevauchaient, se croisant parfois de pages en pages, ça avait quelque chose de très érotique et de très inquiétant en même temps.