Box-office France : “Antoinette dans les Cévennes” plus forte que de Maximy dans les Carpates

Sur la semaine du 16 au 22 septembre 2020, ce n’est pas sur la plus haute marche du box-office français que l’on a vu du neuf mais plus bas, dans les Cévennes, dans les Carpates et même au Louvre.

Pour sa quatrième semaine d’exploitation dans l’Hexagone, Tenet demeure la plus grosse performance hebdomadaire avec 210 615 entrées supplémentaires au compteur (chiffres JP’s Box-Office). Au vu de ce score, seuls de nouveaux venus aux épaules larges et aux mollets solides devraient être en mesure de lui ravir la couronne de lauriers dès la semaine prochaine.

À la deuxième place, Antoinette dans les Cévennes (173 550) pourrait laisser croire aux plus discrets qu’ils ont à faire à une relecture très libre de la vie de l’épouse de Louis XVI. Il s’agit en fait d’une comédie française de Caroline Vignal où Laure Calamy campe la partenaire involontaire d’un âne. Un pitch identifiable depuis l’affiche, remarquez.

État neuf, origine française

Pas de dégringolade mais une légère perte d’équilibre pour La Daronne (3e), qui ne descend ainsi que d’une position depuis son arrivée la semaine dernière. Le film de Jean-Paul Salomé peut de même s’enorgueillir d’avoir enregistré 92 952 nouvelles entrées.

Visiblement pas dérangé de sortir un long-métrage avec un titre aussi touffu, Emmanuel Mouret est en tout cas arrivé à placer Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait au quatrième rang avec 77 092 spectateurs au rendez-vous. L’histoire de Daphné (Camélia Jordana) qui, alors qu’elle passait des vacances avec son compagnon François (Vincent Macaigne), se retrouve à échanger des souvenirs avec son cousin Maxime (Niels Schneider) qu’elle n’avait, jusqu’ici, jamais rencontré.

Avec J’irai mourir dans les Carpates (7e, 50 838), le globe-trotteur Antoine de Maxime repasse derrière la caméra, sept ans après J’irai dormir chez l’homme qui brûle. La différence entre les deux films réside dans le caractère fictionnel de J’irai mourir dans les Carpates, où Max Boublil joue un lieutenant sur la trace de l’aventurier porté disparu.

Enfin, 26 367 personnes sont allées visionner en salle Une nuit au Louvre : Léonard de Vinci (13e) qui, comme son nom le laisse supposer, est un documentaire. Signé Pierre–Hubert Martin, il commémore le 500e anniversaire de la mort du célèbre artiste italien.

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