En Hongrie, une boutique a eu une idée pour le moins originale, à savoir de peindre un QR Code sur le toit de ses locaux pour le rendre visible depuis Google Maps. Voilà qui devrait donner pas mal d’idées aux marketeux.
Ce n’est pas une révélation, la solution de cartographie de Google est souvent utilisée pour faire passer des messages. Qu’il s’agisse de voisins en désaccord sur certaines croyances populaires, de sportifs colériques ou même d’ufologues inquiets de ce que pourraient ressentir d’éventuels aliens en foulant notre planète, beaucoup se prêtent à l’exercice.

Mais contrairement à ce que l’on pourrait penser, les particuliers ne sont pas les seuls à écrire des messages sur le toit de leur maison ou du terrain de baseball du coin.
Un QR Code peint sur le toit d’une boutique
Il arrive en effet que de plus en plus de boutiques en fassent de même afin de faire la promotion de leur marque, avec plus ou moins de succès.
Preuve en est, en Hongrie, la boutique Van Graaf Cim; Arkad 2, une boutique spécialisée dans la vente de vêtements, a eu l’idée de dessiner sur le toit de ses locaux un QR Code géant s’étendant sur une dizaine de mètres de haut et de large. Et donc un QR Code parfaitement visible depuis la vue satellite de Google Maps et des autres services de cartographie.
Si l’idée semble plutôt bonne, il semblerait malheureusement que sa réalisation laisse quelque peu à désirer. Le QR Code en question ne renvoie malheureusement vers rien et toutes nos tentatives pour le scanner se sont ainsi soldées par des échecs.
Une initiative originale… mais qui ne va pas assez loin
Ce qui est, il faut bien l’avouer, quelque peu décevant, d’autant plus que la boutique en question dispose bien de son propre site internet. Créer un lien entre ce QR Code et ce fameux site ne représentait pourtant pas de difficulté majeure. Du moins pas sur le plan technique.
Moralité, si vous avez une boutique qui vous appartient, un pot de peinture et un peu de temps à perdre, alors peut-être cela vaut-il le coup de sortir le pinceau. Après tout, il paraît que l’originalité finit toujours par payer, non ?