Christian Bale, qui se trouvait derrière le masque de Batman et les milliards de Bruce Wayne dans la trilogie de Christopher Nolan, a récemment déclaré qu’on lui avait ri au nez en apprenant qu’il allait endosser le costume du Chevalier Noir.
On dirait bien que la costume de Batman tient bien plus à la peau qu’on ne pouvait le penser. En effet, un certain nombre d’interventions récentes de Christian Bale ont eu trait au sombre rôle qu’il avait joué dans trois films consécutifs entre 2005 et 2012. Le principal intéressé était certes avant tout en campagne promotionnelle pour Thor: Love and Thunder, mais étant donné que ces sessions ne sont que rarement l’occasion d’en dévoiler sur le nouveau projet, il est facile d’embrayer sur un passé plus racontable.
C’est de cette manière que l’on a appris que Christian Bale n’avait pas encore visionné The Batman de Matt Reeves et qu’il pourrait de nouveau porter la cape dans un cadre professionnel mais à une condition. L’acteur britannico-américain a même réussi à dresser un parallèle entre son personnage de Gorr et celui de Batman.
Christian Bale heureux d’avoir donné “tort” aux personnes qui ne croyaient pas au succès de son Batman
Dans un entretien accordé à The Washington Post, Christian Bale est revenu sur les prémisses de son” Batman”, et à la réaction plutôt mitigée des personnes mises au courant du retour de Batman sur grand écran.
“Je disais aux gens que nous allions faire Batman, mais avec une approche sérieuse. Des tonnes de gens se sont moqués de moi et m’ont dit : ‘Ça ne va pas du tout marcher’. C’est donc merveilleux de faire partie d’une trilogie qui a prouvé que ces gens avaient tort. Je ne suis pas certain qu’elle ait donné le coup d’envoi [de l’UCM, ndlr : univers cinématographique Marvel], mais elle y a forcément contribué.”
En même temps, qui pouvait être confiant en une telle résurrection après Batman et Robin ? Rappelons qu’un The Batman 2 a été officialisé il y a de cela quelques mois et que Robert Pattinson y reprendra son rôle de chauve-souris à forme humaine.
Source : The Washington Post