L’iPhone 6s est disponible en pré-commande depuis quelques jours mais il faudra attendre la fin du mois pour pouvoir poser la main dessus et pour pouvoir profiter de ses nombreuses nouveautés. En attendant, James Titcomb s’est mis en tête de faire le tour des Apple Store des six continents pour comparer les prix de vente du terminal. Il en a même fait une jolie carte.
Ce n’est pas vraiment une révélation mais tous les iPhone 6s sortent des mêmes usines. Cela veut aussi dire qu’ils coûtent le même prix au constructeur.

Il aurait donc pu opter pour un prix de vente unique mais ce n’est pas vraiment le cas et c’est précisément ce que reflète cette carte.
Si vous voulez un iPhone 6s, il vaudra mieux aller l’acheter aux Etats-Unis
La première chose à savoir, à son sujet, c’est qu’elle a été réalisée à l’aide d’un service que vous connaissez forcément puisqu’il s’agit de l’inégalable OpenStreetMap. Qui est d’ailleurs le plus gros concurrent de Google Maps à l’heure actuelle.
Ensuite, eh bien James Titcomb s’est baladé (virtuellement) dans les Apple Store des douze premiers pays qui pourront profiter de l’iPhone 6s et de l’iPhone 6s Plus pour noter le prix de vente des terminaux. Il a intégré ces données à sa carte dans la foulée en utilisant un code couleur histoire de faire ressortir les différences entre les marchés.
Et des différences, il y en a un sacré paquet.
Cela ne devrait pas vraiment vous surprendre mais l’iPhone 6s coûte extrêmement cher en Europe, et encore plus en France. On est même sur la première place du podium si vous voulez tout savoir. Le terminal est un peu moins cher en Chine mais son prix de vente reste tout de même plus élevé qu’aux Etats-Unis. Là bas, le prix moyen tourne autour de 649 dollars.
Le coquin est un peu plus cher au Canada et en Australie, en revanche, mais on est tout de même très loin des prix pratiqués dans l’hexagone.
Pourquoi une telle différence de prix ? En réalité, il y a plusieurs variables à prendre en compte. Des variables comme les taxes ou même comme la valeur de la monnaie. Le papier publié par James est d’ailleurs assez complet et vous pouvez suivre ce lien pour en savoir plus sur la manière dont il a récolté (et traité) ces données.