COVID-19 : Le pire est à venir prévient l’OMS, la faute à certains pays

Avec aujourd’hui 10 630 000 cas de COVID-19 confirmés dans le monde, dont la majorité a été recensée aux États-Unis et au Brésil, la pandémie n’est pas encore prête d’être contenue. Face à ce fléau, l’Organisation mondiale de la santé a déjà tiré la sonnette d’alarme à d’innombrables reprises. Mais certains pays ont encore l’air de prendre ce nouveau coronavirus à la légère, selon l’organisation.

Comme le souligne l’OMS, tandis que toutes les astuces simples pour empêcher le Sars-CoV-2 de se propager sont faciles à mettre en place, certains pays ne les utilisent pas. Ce qui pourrait tous nous conduire à une situation catastrophique.

Un homme portant un masque
Crédits Pixabay

Face à cette nonchalance, l’OMS a de nouveau sonné l’alarme. Selon cette dernière, « le pire reste à venir ». En effet, au rythme auquel cette pandémie progresse et si des efforts ne sont pas consentis pour la prendre au sérieux, on sera encore loin de voir le bout du tunnel.

Gouvernements et citoyens doivent s’impliquer beaucoup plus

Le 29 juin dernier, lors d’une conférence téléphonique avec des journalistes, Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS, a annoncé que le monde devrait se préparer, car le pire, concernant cette pandémie de Sars-CoV-2, reste à venir.

Ce dernier, afin de sensibiliser les gens, a ajouté que chaque individu, les politiciens au premier rang, devrait se remettre en question concernant son implication dans cette lutte contre le COVID-19.

Selon Ghebreyesus, tandis que certains pays ont fait ce qu’il fallait pour contrôler cette pandémie, d’autres, dont il n’a pas cité les noms, sont loin d’en faire de même.

Le directeur général de l’OMS a souligné que la situation actuelle aurait pu être évitée. En agissant ensemble et comme il le faut, les gouvernements et les populations auraient pu éradiquer ce coronavirus.

À lire aussi : Le Cannabis serait utile dans la lutte contre le Covid-19

Les États-Unis, le mauvais élève de cette lutte contre le COVID-19

Tandis que l’OMS a réprimandé certains pays pour leur nonchalance par rapport à cette pandémie, elle en a tout de même félicité certains (tels que la Chine, la Corée du Sud ou l’Allemagne) qui ont gravement été touchés par le Sars-CoV-2, mais qui sont quand même parvenus à maîtriser la situation, en appliquant les mesures nécessaires.

Au pays de l’Oncle Sam, qui est le plus touché par le COVID-19 par contre, le port du masque et les mesures de confinement sont considérés comme des choix politiques, mais pas comme des mesures de prévention sanitaire.

Face au danger que présente ce genre de réflexion, tout citoyen, quel que soit son statut, doit se regarder dans un miroir et se demander s’il en fait assez pour arrêter la propagation du Sars-CoV-2. En suivant les consignes de prévention, la lutte contre le COVID-19 n’en sera que nettement plus efficace.

À lire aussi : Voilà pourquoi le Covid-19 provoque parfois la disparition de l’odorat

1 réflexion au sujet de « COVID-19 : Le pire est à venir prévient l’OMS, la faute à certains pays »

  1. Et si les médias arrêtaient de mettre en illustration des masques dangereux (masques avec valve d’expiration) qui protègent le porteur mais rejette devant lui, avec force, un flux d’air non filtré (et potentiellement contaminé) ?

    Répondre

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.