Crisis Core Final Fantasy VII Reunion comprendrait des peintures non autorisées

En y regardant bien, au moins un tableau présent dans la nouvelle version de Crisis Core Final Fantasy VII présente un filigrane laissant entendre que Square Enix n’aurait pas acquis le droit d’exploiter cette image.

Officiellement disponible dans le monde entier depuis le 13 décembre dernier, Crisis Core -Final Fantasy VII- Reunion invite à se replonger dans l’un des premiers épisodes dérivés de Final Fantasy VII, où le personnage de Zack était à l’honneur. Cette nouvelle version se base ainsi sur un jeu paru à l’origine en 2007 sur PSP.

Crédit Nintendo.

Ce n’est pas sur la qualité intrinsèque de cette remastérisation améliorée que nous allons nous attarder ici. En regardant les arrières-plans, Kotaku a ainsi repéré qu’au moins un tableau présentait un filigrane assez intrigant. Précisons dès maintenant que l’article source donne des détails relatifs à l’histoire, certes mineurs.

Crisis Core Final Fantasy VII Reunion : de la mention Getty Images sur au moins une toile

Ce filigrane est relativement visible, permettant ainsi de lire “gettyimages”. Soit une banque d’images dont une partie n’est accessible que contre un certain prix. Il est d’ailleurs facile de reconnaître les clichés payants sur le site de l’agence, car la mention “gettyimages” y apparaît dans des dimensions plus ou moins grandes. La présence de ces filigranes est censée dissuader la reprises de ces photos masquées en même qu’inciter à l’achat des versions nettoyées.

Dans le cas présent, le tableau portant ladite marque pose question, car on ignore si Square Enix a agi de manière délibérée ou s’il était prévu de remplacer l’image masquée par la toile corrigée. Le tableau serait présent à au moins trois endroits dans Crisis Core -Final Fantasy- Reunion.

Ça ne serait en tout cas pas la première fois que Square Enix est pris la main dans la “watermark”, car une cinématique de Kingdom Hearts III comportait elle aussi un filigrane de ce genre. L’an passé, un autre éditeur japonais, en l’occurrence Capcom, avait été poursuivi en justice pour des œuvres reprises sans autorisation dans plusieurs de ses titres, Resident Evil 4 et Devil May Cry en tête. Un accord à l’amiable avait finalement été trouvé entre Capcom et l’autrice Judy A Juracek.

Source : Kotaku

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