Doctor Strange 2 : la fin décryptée par le scénariste

Depuis près d’une semaine, les amateurs du Marvel Cinematic Universe découvrent Doctor Strange in the Multiverse of Madness. La suite des aventures de Stephen Strange dans le multivers après les événements notamment aperçus dans Spider-Man : No Way Home. Pour l’occasion, Sam Raimi a glissé des éléments horrifiques caractéristiques de son cinéma. Car le réalisateur ne sort pas de nulle part ! On lui doit de petites pépites de l’horreur comme la trilogie Evil Dead, Darkman ou encore Jusqu’en enfer. Bref, celui à qui l’on doit la trilogie Spider-Man avec Tobey Maguire sait ce qu’il fait. Et cette approche inédite pour le Marvel Cinematic Universe s’étend jusqu’à la scène finale de Doctor Strange 2. Et lors d’une interview (via Heroic Hollywood), le scénariste Michael Waldron décrypte la fin du long-métrage pour les fans.

L’occasion d’en savoir plus sur les intentions de Marvel Studios avec cette conclusion pour la dernière aventure de Stephen Strange.

Crédit : Marvel Studios

Attention ! Les lignes à suivre dévoilent des éléments de l’intrigue de Doctor Strange in the Multiverse of Madness.

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Un rebondissement final comme dans les films d’horreur

À la fin de Doctor Strange in the Multiverse of Madness, Stephen Strange se retrouve confronté aux conséquences de l’utilisation du Darkhold. Sa version alternative, Sinister Strange, l’a utilisé et les spectateurs aperçoivent son troisième œil. Si on ne connaît pas son implication dans le Marvel Cinematic Universe, on peut l’apercevoir dans les comics lorsque Doctor Strange utilise l’Œil d’Agamotto. Cela suggère que le Sorcier suprême a été exposé à des pouvoirs plus sombres. Et dans le long-métrage, Sam Raimi semble suggérer que Stephen Strange va (encore) faire face aux conséquences de ses actes après avoir été en contact avec le Darkhold.

En interview, le scénariste Michael Waldron nous en dévoile un peu plus.

J’avais la sensation qu’on avait une fin heureuse. On s’est dit que dans un film où il se passe beaucoup de choses horribles, c’était une bonne note. On l’a tourné mais ça ne semblait pas correct. On arrêtait pas de penser à ce que Mordo dit à Stephen Strange dans le premier film. Comme s’il disait : « Tu as possédé ton propre cadavre, est-ce que tu vas devoir faire face à des conséquences ? ». C’était un clin d’œil aux films d’horreur où il y a un rebondissement final.

Michael Waldron

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