
EA (FIFA 23) a, encore une fois, correctement prédit le vainqueur de la Coupe du Monde
Pour la quatrième fois consécutive, l’éditeur EA a réussi à correctement pronostiquer le vainqueur de la Coupe du Monde de football. Une réussite que l’on retiendra en dépit d’autres prédictions ayant tapé hors du cadre.
Depuis qu’EA avait prédit que l’Argentine soulèverait la troisième Coupe du Monde de son histoire, on pouvait commencer à se faire une raison. Notamment car l’éditeur de FIFA avait déjà eu bon lors des trois dernières éditions de l’évènement. L’Espagne gagnante de l’édition 2010, l’Allemagne victorieuse en 2014, la France championne en 2018, il y avait de quoi avoir confiance pour la suite proche.

Avec une Argentine en finale face à la France dimanche dernier, les dés semblaient jetés. Cependant, les retours quasiment miraculeux des Bleus à plusieurs reprises de la rencontre ont pu faire douter, avant que l’épreuve des tirs au but ne vienne confirmer la principale prédiction d’EA pour cette compétition.
Coupe du Monde 2022 : prédiction erronée d’EA pour le Soulier d’or
L’éditeur de FIFA 23 a certes vu juste sur la nation gagnante de cette Coupe du Monde et sur le meilleur joueur désigné de la compétition (Lionel Messi), mais pour le reste, ce n’est pas folichon. Non, le Brésil n’a pas accédé à l’ultime rencontre, et les hommes de Lionel Scaloni n’ont pas bloqué l’Équipe de France en demi-finale. Les coéquipiers d’Olivier Giroud n’ont pas battu les États-Unis en quart de finale, puisque la sélection américaine n’avait pas passé les huitièmes faute d’un match remporté par les Pays-Bas.
Alors oui, EA avait aussi parié sur huit réalisations inscrites par le meilleur buteur du tournoi, mais cet honneur devait revenir à Lionel Messi selon les données de l’éditeur américain. Or, c’est Kylian Mbappé qui a terminé avec cette distinction, son coéquipier au PSG échouant à une unité juste derrière.
Il est en tout cas certain que pour la prochaine Coupe du Monde qui aura lieu en 2026 aux États-Unis, au Canada et au Mexique, la parole d’EA sera à considérer avec plus de sérieux encore. Mais sans doute plus du côté des parieurs que des sélectionneurs, lesquels doivent ainsi se soucier en premier lieu de rendre joueurs et collectif les plus compétitifs possibles.
Source : VGC