Fitbit : Après le souhait de rachat par Google, la firme promet de nos pas voler les données privées des utilisateurs

Les bracelets connectés Fitbit sont ultra populaires. Parmi les modèles appréciés par les utilisateurs, on retrouve notamment le Fitbit Inspire HR, en promotion de 20% chez Boulanger. Il faut dire que ces bracelets connectés à l’esthétique sobre et utilisation simple sont proposés à des prix cassés, suffisamment pour imposer la firme parmi les meilleurs constructeurs du marché en termes de ventes. Un succès qui n’a pas échappé à Google, leader des nouvelles technologies, entre son moteur de recherche, le système d’exploitation Android, le plate-forme de Cloud Gaming appelée Stadia, YouTube…

Et l’an dernier, Google a fait savoir son souhait d’acheter Fibit pour la coquette somme de 2,1 milliards de dollars.

Crédit : Unsplash

Un achat qui n’a pas été acté à cause de méfiances vis-à-vis du traitement des données, comme l’explique Reuters.

Une méfiance de l’Europe à l’égard de Google

Si Google est un acteur majeur des nouvelles technologies, la société suscite la méfiance des gouvernements, institutions et autres autorités. La Commission européenne est notamment inquiète de son envie de racheter Fixbit pour la somme de 2,1 milliards de dollars par rapport à l’utilisation des données privées des utilisateurs. Car dans le passé, Google s’est montré peu transparent à ce sujet avec les hautes instances.

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Mais Google le promet à l’Europe : il souhaite acheter les bracelets connectés Fixbit, les données privées ne l’intéressent pas. Une déclaration relayée par Reuters alors que l’achat doit encore être acté.

Ce rachat concerne uniquement les appareils, et non les données privées. Nous souhaitons avoir l’opportunité de travailler avec la Commission européenne sur une politique en adéquation avec les attentes des utilisateurs, à savoir que les données des appareils Fitbit ne vont pas être utilisées à des fins publicitaires.

Une déclaration que la Commission européenne devra croire sur parole, Google communiquant rarement sur sa gestion des données privées. Le Vieux Continent doit, quoi qu’il arrive, mener une enquête de plusieurs mois en cas de soupçons, mais également demander l’avis des concurrents avant que l’achat ne soit acté.

Les utilisateurs de bracelets connectés Fitbit ne savent que trop bien les informations sensibles que contiennent ces produits, notamment au niveau de la santé.

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