Quand il ne boit pas de maté ou n’essaie pas d’exister dans l’ombre de Lionel Messi en club, Antoine Griezmann excelle dans Football Manager. Preuve en est avec un quintuplé décroché dans cette simulation avec le club de Newcastle United FC.
Dans une pastille de vie partagée par le compte Twitter officiel de l’Équipe de France de football, on a récemment pu apprendre qu’Antoine Griezmann, l’un des attaquants vedettes des Bleus, avait réalisé une fort belle performance dans la simulation Football Manager (possiblement dans sa dernière édition en date).

Le joueur du FC Barcelone indique ainsi qu’en 2027, son palmarès avec le club de Newcastle United FC affiche pas moins de cinq titres : Premier League, FA Cup, Ligue des Champions, Community Shield et Super Cup.
Dans FM, Grizemann a acheté Mbappé pour 134 millions d’euros
Antoine Griezmann tente de faire passer son coéquipier Ousmane Dembélé comme un joueur jaloux, mais l’autre pointe du Barça n’est peut-être pas plus impressionnée que ça par la réussite de “Grizou”.
Surtout que ce dernier a pu compter sur le pendant virtuel de Kylian Mbappé pour conduire son club vers les sommets. Antoine Griezmann indique d’ailleurs au vrai Kylian Mbappé qu’il a déboursé 134 millions d’euros virtuels pour l’enrôler. Ce à quoi l’attaquant du PSG répond :
“Il fait pas chaud là-bas hein !”
Comme évoqué par Kotaku, de toute son histoire, Newcastle United FC n’est jamais parvenu à faire ce quintuplé, et c’est d’ailleurs le cas pour n’importe quelle équipe de football évoluant en Angleterre. Le choix de ce club par Antoine Griezmann s’explique probablement par le défi de faire remporter à un club de milieu de tableau des trophées lui semblant hors d’atteinte.
Reste qu’on ne devrait pas voir Kylian Mbappé jouer pour Newcastle dans la vraie vie. En revanche, après avoir donné le maximum sur les pelouses, Antoine Griezmann pourrait éventuellement tenter sa chance avec le costume d’entraîneur. Mais pas forcément à Newcastle du fait de la pression de son glorieux passé sur Football Manager. Ou alors, en cas de sèches déconvenues, il pourrait céder à la facilité en déclarant que “la réalité, c’est pas du jeu vidéo”.