Le nouveau chatbot, Bard, de Google préoccupe énormément les employés de l’entreprise. Ils estiment que l’Intelligence Artificielle du géant américain présente encore beaucoup d’imprécisions et n’est pas suffisamment prête pour un lancement. Qu’en est-il réellement de la situation ?
Google obstiné à lancer Bard
En interne, les employés de Google trouvent bien de qualificatifs à son nouvel outil de chatbot (Bard) : « un menteur pathologique », « grincheux ». Malgré le poids que devrait constituer l’avis des employés, Google s’est obstiné et lance son Intelligence Artificielle dénommée « Bard ». Son désir de rivaliser ChatGPT d’OpenAI et Bing, intégrant l’IA, a réduit en poudre les opinions éthiques et morales.
Vous l’auriez sûrement observé après essai du Chatbot AI, l’outil présente clairement de nombreuses imperfections. D’après un rapport prenant en compte l’avis des utilisateurs, ce chatbot fait des recommandations assez périlleuses. Plus alarmantes, les réponses données par rapport à la plongée sous-marine « occasionneraient apparemment de graves écorchures ou la mort ». Cela prête à croire que le chatbot n’est pas encore véritablement prêt pour un lancement.
Une posture éthique délicate pour Google
La situation s’annonce assez sensible et incertaine. Google qui domine l’univers des moteurs de recherche essaie désormais de conserver sa place en tant que leader au plan technologique. En plus, il désirerait écarter ses multiples concurrents en matière d’Intelligence Artificielle.
D’après les employés de Bloomberg, « les spécialistes de la sécurité et des implications éthiques des nouvelles innovations ont eu pour consigne, de ne point perturber ou détruire l’un des équipements d’IA générative en croissance ». Selon l’ensemble du personnel de Google, cette consigne rend actuellement impuissante l’équipe des spécialistes de la sécurité et de l’éthique qui se sentirait également démoralisée.
L’effet ChatGPT
En novembre 2022, bien avant le lancement du ChatGPT par OpenAI, Google avait une approche plus saine et sécurisée. Sa théorie concernant l’IA était plus prévoyante et moins dirigée vers les consommateurs. Cependant, la popularité grandissante de ChatGPT a engendré un « Code rouge » et le seuil des produits fiables de Google est rabaissé afin de suivre le rythme de ses concurrents en matière d’IA, selon les dirigeants.
La guide, Jen Gennai, de l’équipe « innovation responsable » chez Google a annulé un examen des dangers de son équipe qui révèlerait que Bard n’était pas prêt pour l’heure. Selon lui, il faudrait amortir Bard comme une « expérience », le lancer puis apporter des améliorations grâce aux différents commentaires des utilisateurs.
Par ailleurs, Google a promis des fonctionnalités de l’IA pour Docs et Slides. À noter que cette approche n’a malheureusement pas eu un impact positif. Le chabot Bard est bien moins performant que ChatGPT. De même, une journée après la publication concernant Google Docs and Slides, Microsoft est passée à l’incorporation totale de l’IA dans ses différents outils de travail (Microsoft Word, PowerPoint, Office entière, Outlook et Teams).
on dirait un article ecrit par chat gpt, ou traduit automatiquement, il y a qqchose qui ne va pas dans le style.. et concernant le fond, pas très informatif…