Google recentre ses projets sur la robotique
Google a revendu Boston Dynamics à Softbank peu de temps avant l’été. Les internautes ont donc pensé que le géant de l’informatique n’allait plus investir dans la robotique. Il semblerait qu’ils ne soient trompés puisque la firme de Mountain View a récemment annoncé son intention de poursuivre ses investissements dans ce secteur.
C’est Hans Peter Brondmo, un ancien de Nokia et actuel responsable en charge du labo X de Google qui a fait cette annonce. Il a également souligné la nouvelle stratégie de la maison : « l’intelligence artificielle avant tout, au coeur de tout. » Il a publié un texte expliquant sa vision sur le blog de X.
Google va donc continuer à produire des robots, mais cette fois-ci, l’entreprise produira uniquement des robots utiles pour l’homme.
Des robots utiles
Hans Peter Brondmo rappelle que produire des robots n’est pas obligatoire, il faut au moins qu’ils soient utiles à l’homme. Pour plus de clarté, il explique que « Notre objectif, c’est de trouver les moyens de développer des produits avec des clients bien définis et des applications réelles. »
Il ajoute que Google produit déjà des robots très ambitieux même si tout le monde n’est pas du même avis. Les internautes sont sûrs de trouver de l’utilité dans la voiture autonome de la filiale Waymo, dans projet de drones de livraison Wing et dans la production d’énergie éolienne Makan.
L’intelligence artificielle au secours de la robotique
Andy Rubin était la personne en charge de la création de la division robotique de Google. Il l’a baptisé « Replicant ». Il a présidé au rachat de neuf start-ups en 2013 et quitte l’entreprise un an après. Google a ensuite renouvelé une partie des start-ups acquises dans le labo X et a revendu le reste en 2015.
À partir de cet instant, Brondmo a pris les devants en faisant le tri sur ce qui restait. Il a collaboré avec l’équipe de Google Brain. Il en est venu à la conclusion que l’intelligence artificielle était la seule solution pour faire évoluer la robotique rapidement. Dans cette voie, il mise tout particulièrement sur le système d’apprentissage automatique.
pepper c’est pas google mais aldebaran ‘ex qociété francaise, et renalt ce trompe y a longtemps que pepper est plus francais, il est né d’ailleurs sous pavillon japonais) racheter par le japonais softbank
En effet, désolé pour cette erreur et merci de la corriger.