La richesse et la longévité n’auraient aucun lien en commun

Depuis la création du monde, l’immortalité représente une préoccupation majeure des hommes, plus particulièrement des riches. Beaucoup d’entre eux n’hésitent pas à investir des sommes importantes d’argent pour que la science en découvre un peu plus. Dernièrement, Paul Martinez a affirmé que les milliardaires dépensaient inutilement leur argent pour tromper la mort. Selon lui, il existe un moyen plus simple de vivre longtemps.

Un humain en train de subir une transformation dans son corps et son esprit

Les journalistes Paul Martinez, Luce Gilmore, George Baugh et Geoff Reid n’ont pas manqué d’aborder chacun un aspect de l’immortalité tant désirée par les riches. S’inspirant tous du journaliste John Harris, ils ont brièvement fait part de leur avis sur la question.

Bien que les aspects abordés soient différents, une idée commune en ressort à chaque fois : les riches ne devraient plus dépenser autant pour devenir immortels.

Le moyen le plus simple de vivre longtemps

D’après les résultats de nombreuses recherches, il existe trois stratégies aussi simples que fiables pour vivre plus longtemps. Il s’agit de l’apprentissage de nouvelles choses, de l’interaction sociale continue et de l’exercice physique. En plus de la longévité, ces trois démarchent permettent de vivre en meilleure santé globale et sont naturelles.

De plus, les recherches ont démontré que les techniques précédemment énumérées présentent une certaine constance. Elles sont facilement accessibles à tous auprès de l’u3a (University of the Third Age). C’est une organisation d’autoapprentissage pour les personnes du troisième âge et celles qui sont à la retraite.

L’immortalité, une ambition démesurée et irréaliste ?

Le célèbre journaliste John Harris pense que l’immortalité des riches n’est que condamnation de la planète. Geoff Reid le rejoint en affirmant que le désir des riches de vivre éternellement est soit une maladie, soit un délire à soigner. Quant au journaliste George Baugh, il s’est inspiré du livre « Les voyages de Gulliver » pour montrer à quel point cette idée est sordide.

« C’était le spectacle le plus mortifiant que j’aie jamais vu, et les femmes étaient plus horribles que les hommes. En plus des déformations habituelles de l’extrême vieillesse, ils acquéraient une horreur supplémentaire, proportionnelle à leur nombre d’années, qui ne peut être décrite… »

Les voyages de Gulliver, Partie III, Chapitre 10

Luce Gilmore a soulevé un point important que les riches ignorent dans leur quête. Pour pouvoir vivre plus de 500 ans, il faut que la planète soit habitable plus de 500 ans. S’agissant d’un problème à long terme, la nécessité d’un organisme à long terme pour le résoudre est primordiale.

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