
Le “remake” de The Last of Us pourrait sortir cette année sur PlayStation 5
Se tirant visiblement la bourre avec GTA 5 au titre de “jeu récent le plus souvent ressorti sans réelle raison valable”, The Last of Us est pressenti pour débarquer cette année sur PlayStation 5. Et ce alors qu’aucune annonce officielle de son existence n’a (encore) été faite.
Il y a maintenant bientôt un an, à trois mois près, Bloomberg écrivait qu’un “remake” de The Last of Us était en préparation du côté de chez Naughty Dog. Même si l’information n’avait pas été officialisée par Sony ou le studio du jeu original, elle prêtait à rire sans plus attendre. Comme si un jeu de 2013 légèrement retapé pour l’année et la génération suivante était aujourd’hui perçu comme dépassé.

Il avait été rapporté que dans un premier temps, le projet avait été confié à Visual Arts Service Group, un studio qui n’officierait désormais qu’en soutien sur ce “remake”. Le développement de ce dernier aurait été repris par Naughty Dog après la sortie de The Last of Us Part II, en juin dernier.
The Last of Us PS5 pressenti pour une sortie au second trimestre 2022
L’informateur Tom Henderson, qui distille sa parole sur le réseau social Twitter, a partagé le 5 janvier dernier un gazouillis pour le moins explicite : une presque confirmation de développement et la semi-officialisation d’une fenêtre de sortie pour ce lourd projet :
“Plusieurs personnes m’ont dit que le remake de TLOU est presque terminé et qu’il pourrait sortir au cours de la seconde moitié de 2022”.
Rappelons que The Last of Us est d’abord paru en 2013 sur une PS3 qu’il semblait exploiter comme nul autre jeu avant lui. Mais au vu d’un lancement rapproché avec celui de la PS4, il a été décidé de ressortir The Last of Us sur la génération d’après au travers d’une version remastérisée. Six ans plus tard, The Last of Us Part II voyait le jour sur cette même PS4. Et si ce dernier titre n’a pas eu droit à sa remastérisation commerciale, c’est parce que Sony était coincé dans cette satanée rétrocompatibilité l’empêchant de remettre sur le marché des titres de l’ancienne génération, mais avec une nouvelle étiquette.
Source : compte Twitter de Tom Henderson