Solo : A Star Wars Story n’a pas forcément été bien reçu par les fans. Une réception mitigée pour un long-métrage à la production mitigée. Après le départ de Ron Howard, Christopher Miller et Phil Lord, déjà confirmés dans le milieu, récupèrent le projet. Mais Justice League l’a largement prouvé. Un tournage aussi chaotique donne rarement un résultat à la hauteur de l’attente des fans. Solo : A Star Wars Story ne gagne que 393 millions de dollars dans le monde. Bien en-deçà des autres productions Star Wars, notamment Rogue One, un autre spin-off. Si Christopher Miller et Phil Lord se sont rattrapés avec Spider-Man: New Generation, détenteur d’un Oscar, ces derniers reviennent sans problème sur leur expérience avec Lucasfilm.
Lors d’une interview (via Super Hero Hype), les cinéastes parlent de conserver le meilleur des souvenirs du tournage.
Ces derniers, malgré les moments compliqués, se sont notamment fait des amis sur le projet.
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Une expérience positive pour les réalisateurs
Christopher Miller et Phil Lord parlent de Solo : A Star Wars Story soit l’un des films reçus les plus froidement de la franchise sous l’égide Disney. Les cinéastes partagent pourquoi avoir accepté un tel projet.
Nous avons toujours voulu faire des projets qui sont, comme Han, des francs-tireurs (…) C’est ce que nous voulons faire avec ces projets. C’est marrant car le premier Star Wars est une production indépendante réalisée en dehors du système hollywoodien. Han Solo représente bien cet esprit et c’est pourquoi nous avons été inspirés.
Les cinéastes partagent également leur regard positif sur le tournage malgré une réception mitigée du film. Ces derniers souhaitent conserver les meilleurs souvenirs.
La bonne nouvelle est qu’on ne peut pas retirer ce que nous avons appris. Nous avons bossé avec des gens talentueux, nous nous sommes fait des amis. Cela a fait de nous de meilleurs réalisateurs sur le long terme. Il y a évidemment beaucoup d’émotions négatives mais la façon dont on se sent aujourd’hui, c’est que nous avons tenté de devenir meilleurs et d’apprendre à collaborer avec des gens.
Désormais détenteurs d’un Oscar, les réalisateurs ont effectivement appris sur le tournage à gérer de gros projets.