Les selfies ont maintenant leur maladie

Nous vivons dans une société de plus en plus nombriliste. Ce caractère a été exacerbé par l’arrivée des smartphones et des réseaux sociaux. Depuis la création de cette très chère caméra frontale sur notre smartphone, notre activité favorite est de nous photographier nous-mêmes, pour ensuite poster nos fameux selfies sur les principaux réseaux sociaux comme Instagram, Facebook ou encore Twitter. De là à en devenir accro !

Si nous pensions que se prendre en selfie à longueur de journée était un hobby comme un autre, nous avons tout faux. Il semblerait que ce soit une maladie mentale.

Une étude réalisée par l’Université de Nottingham Trent et l’école de management de Thiagarajar, en Inde, traite de cette maladie du selfie baptisée selfitis.

Des chercheurs basés en Inde ont décidé de mener des études sérieuses et en sont venus à conclure que le trouble comportemental lié aux selfies est bel et bien réel.

Une maladie mentale

Pour effectuer leur recherche, les scientifiques ont étudié le cas de 400 participants en Inde, réputé pour être le pays ayant le plus grand nombre de personnes mortes à la suite d’un selfie.

200 d’entre eux ont été observés de près pour déterminer les facteurs qui pourraient causer une addiction au selfie.

Le chercheur Janarthanan Balakrishnan est arrivé à la conclusion suivante : « Typiquement, les personnes qui souffrent de cette condition ont très peu confiance en elles. Ils peuvent manifester des symptômes similaires à d’autres comportements potentiellement addictifs. »

Trois degrés d’addiction

Les chercheurs ont établi une échelle qui détermine le degré d’addiction au selfie d’une personne. Le premier degré est celui des personnes à risque ou borderline qui se prennent en photo au moins trois fois par jour et qui les postent sur tous leurs réseaux sociaux.

Le deuxième est celui de l’addiction sévère. À ce stade, la personne ressent le besoin de poster tous les selfies qu’elle a pris. Le troisième est appelé le selfitis chronique. La personne ressent le besoin de se prendre en selfie toute la journée et de publier toutes ces photos plus de six fois par jour.

Les scientifiques n’ont pas encore trouvé de remède au selfitis. Le seul moyen de l’éviter c’est de poser son téléphone pour profiter de la vie autrement.

9 réflexions au sujet de “Les selfies ont maintenant leur maladie”

  1. Cette société a toujours été nombriliste enfin surtout depuis les années 80 sauf que le web (réseaux sociaux) nous montre une sorte de photographie incontestable. quand cela se passait dans la rue le peu de témoins de gens qui en parlaient au quotidien étaient désavoué de tous de leur amie et porche pro etc quand ils ce fessaient pas traité de facho ,quant aux intellectuel ils ne se faisaient tout simplement pas éditer et traité de nazie par une horde d’autres intellos que l’on sait ce qu’ ils sont devenue aujourd’hui ( BHL, SORAL , etc) .

    C’est ce qu’il ce passe pour le harcèlement en général( sexuel , école , etc entre ado, etc.) sur le web les écris restent on a le temps de les voir ,de les étudier, de les montrer ,de faire le constat et surtout que personne( psy etc. et autres dézingués ) ne peut nier !!! . En dehors du web il peut ce passer des décennies avant que l’on vous prenne au sérieux (voir vous faisant passer pour un parano vous perdez tout), puisque souvent vous déranger un ordre établie, eco social et politique et les colonies associatives des banlieues, souvent nauséabonde et criminogène.

    conclusion et moral , paradoxalement on devient, au contraire de ce que vous avez écrit, de MOINS EN MOINS nombriliste !

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  2. Et les malades des selfies avec photomaton qui fessait des ravages année 70-95 ? ( et que je trouvais débile )
    Personne ne nous parlait de maladie puisque rien ne restait sur un support visible de tous, sur le web avec les nouveau selfie via smartphone on voit la véritable pseudo humanité de nos sociétés.

    Si on avait un support a l’époque pour mettre toute les photos des photomaton des dézingués de l’époque ( année 70-97 ) on aurait dit la même chose , les même thèses et constats, officiellement reconnu par les psy sauf que quand moi ou d’autres personne le disait on était pas écouté et dézingué et traité de débile ou pas compris tout simplement . Il y a eu en France plusieurs milliard de photo prise ( en selfie ) avec les machines a photomaton pendant près de 30 ans mais personne ne peut voir ce nombrilisme cette égocentrisme puisque que il est pas sur un support visible de tous .

    Je pense que le problème n’est pas le web le support ou les selfies ( qui existent depuis plus de 40 ans )mais bien le cerveau de la majorité qui n’a pas les capacités de compréhension et d’adaptation, de ou du ou je dirais pour faire cour ,du monde qui les entoure enfin bref comme souvent , la majorité ce pensant lucide ,une lucidité castratrice qui remplace aussi bien les treep ( le LSD et dernière phrase repris d une chanson :D )

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    • Petit rappel pour ceux qui n’ont pas de mémoire ou qui n’ont pas connu les selfie via photomaton ou pour ceux a qui on a pas transmis le savoir et la connaissance , ce savoir et connaissance qui ne s’apprend dans une école de journaliste de phylo etc etc a la Sorbonne etc !! OK ?? bon ca c fait .Mais non le selfie est tout nouveau bien sur les dézingués , même un gars sous acide a la même lucidité MDR !!

      Bon donc je disais, le selfie via machine a photomaton consistait a prendre une photo de face de sa tête en faisant des grimaces , ou de grand sourire seul ou avec plusieurs de ses copines ou copains, du genre 8 têtes collés serrées dans la machine a photo maton, cheveux décoiffe etc joues deformé parfois etc , prise de fou rire etc les passant voyant ça c’etait un délire totale , bref . On attendait les photo(mdr a la sortie de la machine on ne savait pas ce qui allait sortir ) et les gardait pour les montrer entre amis ou on les jetait a terre ( un peu comme on posterait sur le web aujourd’hui ) ou collé au tube U sur un mur pour que tout le monde les voient , sorte d’art éphémère puisque les photos étaient balayées ou nettoyées par la nature ou les société de nettoyage les jours suivant . Voilà en gros les débuts du selfie ,donc rien de nouveau aujourd’hui avec les smart phones et le web. Dalleurs tellement les photomaton étaient utilisés pendant cette tendance que l’on pouvait en trouver dans des endroits improbables dans la rue , les hall de grande surface ( genre dans n’importe quel coin perdu ) ou dans n’importe quelle couloir du RER ou du métro des grande ville . Jacques Langue a l’époque(85- 88) avait même parlé de cette tendance qui fessait des ravages et boostait un peu l’économie l’emploie et la jeunesse .C’est dire qu’il ne fallait surtout pas critiquer cette art cette tendance sans quoi on ce fessait traité de facho ou d’anti gauche ou de personne qui ne comprenait rien a la jeunesse .pourtant le nombrilisme cette maladie que l’on nous parlent aujourd’hui était déjà bien présente a l’époque mais personne ne pouvait le prouver , la voir et la comprendre puisque aucun support non éphémère n’existait a l’époque .

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    • La lucidité de la pensée dominante ,cette lucidité bidon et castratrice qui remplace aussi bien les treeps !!!

      Les selfies et pathologies associées existent depuis 35 ans !!!

      de rien.

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  3. conclusion de tout ca : A l’Université de Nottingham faudrait qu’il prennent des pilules pour soigner justement leur maladie leur nombrilisme, ce qu’il pensent être nouveau mais qui ne l ai pas .

    effectivement ,certains pensent avoir trouvé dans leur instruction une sorte de graal de la connaissance et du savoir .

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    • pourquoi ne parlait t-on pas de maladie quand pendant “40 ans” des millions de jeunes et moins jeunes ont fait des selfies avec des photomatons ? (cette mode US , avec les même travers culturel , le même égocentrisme, narcissisme , etc )

      Est ce que la dite maladie aujourd’hui n’existait pas a l époque ou serait-ce tout simplement un problème ( des élites je dirais pour faire simple) de perception de compréhension du monde qui les entour ces élites ? bref un problème chez ceux qui pensent avoir trouver dans le instruction une sorte de Graal de la connaissance et du savoir .

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