Qu’on aime Michael Bay ou pas, force est de constater qu’il participe à une certaine période du blockbuster moderne. Le cinéaste adore les grosses explosions et tire un trait sur les effets spéciaux numériques qu’il ne porte pas dans son cœur. Pour le cinéaste, il faut de la vraie tôle froissée offre un divertissement de qualité. Exit les voitures en CGI ou les explosions factices, l’homme dégomme de vrais véhicules dans un déluge pyrotechnique ! On lui doit des films comme No Pain No Gain, Pearl Harbor, 13 Hours, Bad Boys, The Island, Rock ou encore Six Underground. Son nouveau long-métrage, Ambulance, n’échappe pas à la règle des explosions réelles. Et Michael Bay ne se prive pas pour le rappeler lors de sa promotion. Lors d’une interview pour Entertainment Weekly (via ScreenRant), le réalisateur a logiquement été interrogé sur cet héritage laissé dans l’histoire du cinéma.
Et bien figurez-vous qu’en réalité, le cinéaste n’y pense que très peu.
En revanche, il a conscience que de jeunes réalisateurs l’ont pour exemple !
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Michael Bay ne pense pas trop à l’héritage laissé
Ah, Michael Bay ! Tant de vannes à propos de son amour des explosions. L’homme engloutit des millions de dollars pour tout faire péter et les comédiens bankables se bousculent pour apparaître dans l’un de ses films. C’est un peu un petit plaisir dans une filmographie qu’avoir participé à l’un des spectacles pyrotechniques du maître.
Mais dans les faits, le réalisateur n’a pas forcément conscience de l’héritage qu’il laisse à toute une génération de cinéastes comme il l’explique en interview.
Je n’ai même pas pensé à ça. C’est drôle d’entendre de jeunes réalisateurs parler d’un héritage. Pour moi, c’est une sorte de… Je ne sais pas. Je ne pense pas de cette manière, je ne le fais vraiment pas. Je vis au jour le jour, une semaine à la fois en planifiant un film. Parce que je ne vais jamais mourir, nous sommes tous immortels !
Michael Bay
Une petite blague à la fin de cet extrait prouvant que pour un homme comme Michael Bay, chaque jour se savoure sans penser au lendemain.