
On connaît le nouveau projet du créateur de Vikings
Vikings, c’est fini. Les derniers épisodes de la saison 6 sont sortis et nous connaissons, enfin, le dénouement des aventures des fils de Ragnar. Michael Hirst, de son côté, ne compte évidemment pas raccrocher les gants et nous apprenons ainsi qu’il a commencé à travailler sur un autre projet.
Vikings aura clairement marqué son époque, notamment en raison de sa qualité d’écriture et de sa réalisation. Peu de séries peuvent en effet se vanter d’avoir su à ce point transporter les téléspectateurs dans l’univers des Vikings et de leurs croyances.

Une page se tourne, donc, mais le livre n’est pas encore fini. Vikings aura effectivement droit à un spin-off, commandé par Netflix : Valhalla.
Vikings aura droit à un spin-off
Encore une fois, les Vikings seront à l’honneur, mais l’histoire nous emportera un peu plus tard. Elle se déroulera en effet un siècle après les événements racontés dans la série originale. Autrement dit, il ne faudra pas espérer recroiser les personnages qui ont marqué la série.
Ce qui, évidemment, ne veut pas dire que leur légende ne sera pas évoquée.
Michael Hirt est bien entendu associé au projet, avec Jeb Stuart, mais ce dernier ne semble pas vouloir mettre tous ses oeufs dans le même panier. Grâce au Hollywood Reporter, nous savons en effet que le réalisateur travaille aussi sur un autre projet, très ambitieux.
Une série qui se concentrera sur une période sombre de l’histoire de l’Angleterre
Un projet qui, cette fois, ne se déroulera pas en Europe du Nord, mais à Londres, au beau milieu du 17e siècle.
Pour cette toute nouvelle série, une mini série commandée par History, le réalisateur sera en effet amené à revisiter une période sombre de l’histoire, à savoir l’épidémie de peste bubonique au 17e siècle à Londres. Peu de détails ont été donnés, mais nos confrères indiquent que ce projet sera l’occasion de raconter ce qui a failli être la chute de la société britannique.
A l’époque, l’arrivée de la peste bubonique à Londres a en effet provoqué de vifs heurts et de nombreux Londoniens ont ainsi fui la ville par peur de la maladie. Comme un air de fin du monde, donc.