OnePlus a fait beaucoup de bruit l’année dernière avec son One, et la petite société compte bien poursuivre ses efforts en 2015. S’il faut s’attendre au lancement de plusieurs terminaux dans les semaines et dans les mois qui viennent, une nouvelle ROM ne devrait pas non plus tarder à voir le jour. Et justement, la fine équipe vient de publier un article entièrement dédié à OxygenOS, avec quelques révélations intéressantes dans le lot.
A commencer par le logo de la plateforme, qui illustre cet article. OnePlus a opté pour quelque chose de simple et de sobre. Le logo de la ROM s’accorde d’ailleurs à merveille avec celui de la firme et c’est plutôt une bonne nouvelle.
M’enfin, ce n’est pas vraiment ça le plus intéressant. Non, si l’on en croit l’équipe en charge du projet, alors cette ROM basée sur Lollipop respectera la plateforme de Google et elle ne cherchera donc pas à la dénaturer.
Il n’est pas question de dénaturer Lollipop
Attention cependant, car cela ne veut pas non plus dire qu’il n’y aura pas d’ajouts ou de changements. En réalité, OnePlus évoque même quelques fonctions dans l’article, comme la double tape pour sortir le téléphone de sa torpeur, ou encore la personnalisation des boutons tactiles de la plateforme.
Dans tous les cas, l’idée c’est vraiment d’apporter une plu-value à l’utilisateur, et pas de lui imposer quoi que ce soit. Difficile de ne pas penser à ce que propose Motorola depuis quelques temps.
En outre, la compagnie insiste aussi sur le fait que la plateforme sera livrée sans bloatwares. Sur le papier, c’est aussi mignon qu’un chaton de deux mois mais il faut rappeler que la dernière mise à jour de la ROM actuelle est livrée avec… vous allez rire… SwiftKey. Alors okay, cette application est bien foutue, mais il n’empêche qu’il est difficile de ne pas établir un parallèle avec la stratégie actuellement mise en place chez de nombreux constructeurs.
Notez pour finir que OnePlus n’évoque aucune date de lancement, se contentant d’indiquer que OxygenOS sortira quand… il sera prêt. Et en même temps, on s’en doutait un peu, non ?