
Robert Pattinson (The Batman) reste dérangé par le Batman Returns de Tim Burton
Actuellement à l’affiche de The Batman où il campe le célèbre personnage à la sombre cape, Robert Pattinson a reconnu que le Batman Returns de Tim Burton est encore l’un des films les plus dérangeants qu’il ait vus de sa vie.
Séance promotion pour Robert Pattinson, lequel doit ainsi actuellement donner de sa personne pour inciter à aller visionner The Batman au cinéma. Beaucoup ne lui avaient accordé que peu de crédit à l’annonce de sa désignation, et pourtant, les premiers spectateurs semblent globalement ressortir satisfaits de la salle.

Parmi les sujets sur lesquels l’acteur était amené à s’exprimer durant sa campagne, les précédentes adaptations des aventures du chevalier noir. C’était difficilement esquivable, et Robert Pattinson de s’être notamment attardé sur Batman Returns, dont le titre avait été adapté en français en Batman, le défi (Allez tenter de vendre “Batman revient” sans vous faire rire au nez).
“Batman le défi est un chef d’œuvre” pour Robert Pattinson
C’est sur la BBC Radio 1 que Robert Pattinson a déclaré, ou même confirmé, sa flamme pour Danny Devito, qui incarne le Pingouin dans ce second et dernier film de Tim Burton dans l’univers Batman. Mais l’ancienne icône de Twilight reconnaît qu’à ce jour, Batman, le défi continue de susciter en lui la peur :
“J’adore aussi Danny Devito. Batman Returns est un chef-d’œuvre… Je me souviens l’avoir regardé quand j’étais petit et même en le regardant maintenant, c’est l’une des choses les plus dérangeantes que j’aie jamais vues. C’est aussi un peu rosé.”
Un effet proche du traumatisme peut jouer dans ce ressenti actualisé, car si Robert Pattinson a visionné Batman, le défi à sa sortie ou peu de temps après, il avait entre 5 et 7, 8 ans. Soit, dans tous les cas, un âge où il est très facile d’être impressionné et où certains souvenirs s’impriment durablement dans l’esprit. Une autre hypothèse fort valable est celle d’un film maitrisé par un réalisateur et dont la patte a vraisemblablement contribué à teindre Batman, le défi, et tous ses autres longs-métrages, d’un doux sentiment de mal-être.
Source : compte YouTube de BBC Radio 1 (via Screen Rant)