Test du Pixel 5, la nouvelle référence en matière de photo

Le Pixel 5 a été évoqué pour la toute première fois en août dernier, mais il aura fallu attendre la semaine dernière pour le voir arriver chez les revendeurs agréés. Le moment est donc venu de nous pencher sur son cas, et de vous expliquer pourquoi ce petit téléphone a tout pour devenir la nouvelle référence en matière de photo.

Vous avez certainement dû le remarquer, mais les Pixel sont en force cette année. Non content de nous avoir gratifiés de l’excellent Pixel 4a, pensez à aller voir son test, Google a en effet dévoilé cet été deux autres smartphones : le Pixel 4a 5G, sur lequel nous reviendrons bientôt, et le Pixel 5, qui m’accompagne depuis maintenant deux semaines.

Le Pixel 5 apporte un souffle nouveau à la gamme
Le Pixel 5 apporte un souffle nouveau à la gamme

Oui deux semaines qui m’ont fait prendre conscience que la course à la puissance et aux techno ne faisait finalement pas tout.

Parce qu’au final, le Pixel 5 n’est pas le plus puissant, ce n’est pas non plus lui qui embarque le plus de capteurs photo et il n’est pas non plus le plus rapide à charger, mais cela n’a pas empêché de ravir mon coeur.

[priice_widget id=”YemrJo6mZE”]

Design & Ergonomie

Les Pixel ont souvent été critiqués pour leur design. Vous vous rappelez sans doute de toutes ces blagues pas très drôles qui portaient sur l’encoche des Pixel 3 ou encore sur les bordures des Pixel 4. Pour ce nouveau smartphone, Google a décidé de la jouer un peu plus conventionnelle.

De face, le Pixel 5 ne dénote pas d’avec ses concurrents. Un écran imposant, aux bordures contenues, un poinçon discret calé dans le coin, il s’aligne finalement sur la plupart des smartphones du moment.

Avec une subtilité. Les bordures entourant sa dalle sont toutes de la même taille et cela vaut notamment pour le menton. Google a en effet opté pour une nappe recourbée sous la dalle afin de réduire son épaisseur. Le résultat est objectivement très réussi.

En revanche, il y a un prix à payer. Soli manque à l’appel et le Pixel 5 fait du même coup l’impasse sur toutes les fonctions qui étaient associées à la puce.

Alors pour reconnaissance gestuelle, ce n’est pas vraiment un problème. Elle n’a de toute manière jamais été très efficace. En revanche, il faudra aussi faire l’impasse sur la reconnaissance faciale sécurisée, ce qui est un peu plus regrettable.

Après, en ce moment, avec les masques, il vaut mieux se rabattre sur les lecteurs d’empreintes.

Lecteur sur lequel le Pixel 5 ne fait évidemment pas l’impasse. En revanche, ce dernier n’est pas placé au niveau de l’écran. Google a choisi de l’intégrer à la plaque afin de limiter les coûts. Il faut en effet rappeler que le Pixel 5 est proposé à 629 €, là où beaucoup de smartphones premiums flirtent avec les 800 ou 1000 €.

Reste que le lecteur en question fonctionne très bien, et il a en plus le mérite de tomber naturellement sous l’index. Et puis surtout, il se moque totalement des masques.

Le boîtier du téléphone est fait en aluminium recyclé, avec une texture rappelant un peu la résine à l’arrière. Cette texture a le mérite de ne pas être salissante, mais aussi et surtout de rendre le téléphone moins glissant en main.

En revanche, Google a un peu triché et la firme a découpé une partie du milieu de la plaque pour la remplacer par du plastique. C’est ce qui permet au Pixel 5 d’offrir une compatibilité avec la charge sans fil. Une charge sans fil qui a le mérite de fonctionner dans les deux sens.

Rien à dire de l’ergonomie. Elle est similaire à celle du Pixel 4a. Les boutons sont donc répartis sur les tranches et ils tombent bien sous les doigts. Le bouton de mise sous tension a été teint en blanc et on a également un connecteur USB-C sur la tranche inférieure.

Google a mis le paquet sur le design, et force est de constater que cela paye. 

Le Pixel 5 est très agréable à utiliser et il tient bien en main. Son format compact est indéniablement un plus et il est ainsi parfaitement possible de l’utiliser à une main sans contorsionner ses doigts dans tous les sens.

Le Pixel 5 est très agréable en main grâce à des dimensions contenues
Le Pixel 5 est très agréable en main grâce à des dimensions contenues
La dalle est de très bone qualité
La dalle est de très bone qualité

Ecran, Processeur & Autonomie

Le Pixel 5 a donc des arguments à faire valoir sur le terrain du design et on va voir qu’il en va de même sur le plan technique, et ce même si Google a fait des choix un peu plus mesurés que beaucoup de ses concurrents.

L’écran est objectivement magnifique. Google a naturellement opté pour une dalle OLED, avec une définition en Full HD+. Soit une résolution en 2 340 x 1 080 et une densité de pixels de l’ordre de 432 ppp. Pas de QHD, donc, et ce n’est pas grave sur une dalle de 6 pouces de diagonale.

OLED oblige, on a un très bon contraste et la dalle a aussi pour particularité d’être compatible HDR et de pouvoir restituer pas moins de 16 millions de couleurs. 

Et lorsqu’on met tout ça bout à bout, on obtient un téléphone qui convient parfaitement à un usage multimédia. Les couleurs sont fidèles, naturelles, les contrastes sont bien présents et on a en plus une belle luminosité qui rend le téléphone utilisable en toute occasion, même en plein soleil.

Seul bémol, le son. Google a intégré deux haut parleurs à son téléphone, mais le second est placé sous l’écran et il est de ce fait un peu étouffé. Maintenant, cela ne m’a pas empêché de regarder pas mal de séries sur le Pixel 5.

Mais cette dalle a une autre particularité intéressante : son taux de rafraichissement. Il atteint les 90 Hz et il permet au Pixel 5 d’offrir un sentiment de fluidité accru sur les jeux les plus rapides.

Un exercice dans lequel il excelle d’ailleurs. S’il fait l’impasse sur le SoC haut de gamme de Qualcomm pour lui préférer un Snapdragon 765G, le Pixel 5 reste en effet efficace en jeu, notamment grâce à ses 8 Go de mémoire vive. L’espace de stockage reste en revanche limité à 128 Go et il ne sera pas possible de l’étendre. 

Ce n’est pas une révélation, mais les Pixel ont souvent été critiqués pour leur autonomie. Enfin surtout les Pixel 4. 

Fort heureusement, Google a su écouter les critiques et le Pixel 5 profite ainsi d’une très bonne autonomie en dépit de sa batterie de 4 000 mAh.

Avec mes usages, le terminal tient en effet en moyenne entre une journée et demie et deux jours. Sur PC Mark, il a atteint les 13h30 heures en 90 Hz et les 15 heures en 60 Hz.

La charge laisse en revanche un peu à désirer. Elle ne dépassera pas les 18W et le Pixel 5 aura donc besoin d’une heure et demie pour se recharger. Forcément, quand on est habitué à la charge très rapide d’Oppo, ça déçoit un peu.

Très rapidement, sur la connectivité, il faut savoir que le Pixel 5 est compatible avec la 5G. Malheureusement je ne l’ai pas testé dans cet usage, faute d’abonnement téléphonique compatible.

En revanche, sachez que si la trappe ne peut accepter qu’une seule carte SIM, Google a également placé une eSIM à l’intérieur du téléphone. Il sera donc bien possible de faire cohabiter deux lignes téléphoniques.

Le dos de la coque rappelle un peu la texture de la résine
Le dos de la coque rappelle un peu la texture de la résine
Pas d'encoche ou de grosses bordures, Google a opté pour un poinçon
Pas d’encoche ou de grosses bordures, Google a opté pour un poinçon

Photo & Vidéo

Les Pixel ont toujours été réputés pour leurs excellentes performances en photo et en vidéo. Autant vous prévenir de suite, ce n’est pas le Pixel 5 qui va rompre la tradition. Il est en effet capable d’obtenir des images proprement exceptionnelles.

Sur le papier, l’offre est finalement assez conventionnelle. A l’arrière du Pixel 5, on va ainsi trouver seulement deux capteurs. Exactement comme l’année dernière, donc, sauf que l’architecture n’a plus rien à voir.

Le capteur principal atteint une définition de 12,2 millions de pixels et il bénéficie de la technologie Double Pixel avec un grand angle offrant une ouverture à f/1.7. Google l’a également équipé d’un double système de stabilisation reposant sur un OIS et un EIS, soit sur un stabilisateur optique et sur un stabilisateur électronique.

Le second capteur atteint les 16 millions de pixels et il ne s’accompagne pas d’un téléobjectif avec zoom optique, mais d’un ultra grand angle ouvrant à f/2.2 et offrant un champ de vision de 107 ° exactement.

On perd donc le zoom optique. C’est triste, mais en fait, ça ne change absolument rien, parce que le Pixel 5 a un autre atout, et pas des moindres : son excellent traitement logiciel.

De jour, le Pixel 5 est proprement imparable. La mise au point est rapide comme l’éclair et elle tombe toujours juste. Le piqué est omniprésent et le téléphone peut donc restituer des clichés avec un haut niveau de détail. 

Une impression renforcée par son excellente dynamique. Rien ne semble pouvoir lui échapper, même dans les conditions lumineuses les plus compliquées.

Quant à la colorimétrie, elle tape juste et elle se montre finalement assez neutre… ce qui facilitera du même coup le processus d’édition.

Beaucoup de téléphones patinent lorsque la lumière vient à manquer, mais ce n’est pas le cas du Pixel 5. Que ce soit en intérieur ou même en pleine nuit, on conservera une qualité d’image exceptionnelle, avec une balance des blancs qui tape toujours dans le mille et peu d’artefacts présents à l’image.

Cette prouesse, le téléphone ne la doit pas uniquement à ses capteurs ou à ses optiques. Ici, c’est le traitement logiciel de Google qui s’avère redoutable. Lorsque vous appuyez sur le déclencheur, la photo ne va pas juste être stockée dans votre galerie. Elle va passer par une succession de plusieurs processus qui feront disparaître toutes ses imperfections.

Mais pour aller plus loin, il est aussi possible de faire appel au mode nuit, un mode qui pourra détecter le type de scène à photographier. Et si vous placez le Pixel 5 sur un trépied et que vous le pointez vers le ciel, alors c’est vers le mode astrophotographie que vous serez redirigé.

Là, le temps de pose sera bien plus long et le Pixel 5 sera alors en mesure de récupérer davantage de détails sur les scènes photographiées. Avec des résultats qui, une fois de plus, incitent au respect.

Le Pixel 5 propose deux focales réelles : un grand angle et un ultra grand angle. Ce dernier vient remplacer le téléobjectif et beaucoup n’ont pas compris ce choix. Pire encore, certains ont même accusé Google d’être trop indécis et hésitant.

Mais en réalité, si le Pixel 5 fait l’impasse sur un zoom optique, c’est parce qu’il n’en a pas besoin.

Il n’en a pas besoin parce qu’il peut une fois de plus compter sur le savoir faire des ingénieurs de Google et sur son traitement logiciel. Le terminal offre ainsi un zoom numérique 5x, un zoom qui fait mieux que beaucoup de téléobjectifs.

En dépit du caractère artificiel de ce grossissement, le Pixel 5 peut en effet obtenir des images très nettes tout en conservant une belle dynamique. Les contours des objets photographiés ne sont pas brouillés et on ne peut une nouvelle fois qu’être surpris de ce que ce petit téléphone arrive à sortir.

Le Pixel 5 se débrouille aussi très bien en portrait.

Et le mieux, c’est de partir d’un exemple, et donc de cette photo de Salomé. Il y a plusieurs choses à noter. La première, c’est qu’elle a été shooté en basse luminosité, dans une pièce mal éclairée. La seconde, c’est que le Pixel 5 n’était pas pointé directement vers le sujet, mais plutôt vers son reflet… dans un miroir qui n’a pas été nettoyé depuis un moment.

Là, vous allez me dire, mais pourquoi avoir compliqué les choses ? Tout simplement parce que le Pixel 5 s’est montré beaucoup trop doué et que je voulais le pousser un peu dans ses derniers retranchements. Et je vais être franc, je m’attendais vraiment à ce qu’il se vautre.

Parce qu’au final, le Pixel 5 excelle vraiment dans cet usage. Les visages restent nets, avec de beaux flous très soyeux. 

Mais surtout, Google a pris le parti de ne pas lisser les traits de nos sujets. Un engagement qui mérite d’être souligné.

Quant au selfies, ils m’ont eux aussi agréablement surpris, et ce même si je ne suis pas spécialement très à l’aise dans cet exercice. Encore une fois, le Pixel 5 obtient des images piquées avec un haut niveau de détails et une dynamique intéressante. Rien à dire non plus au niveau de la colo qui tape dans le mille.

J’ai également apprécié que Google nous donne le choix entre plusieurs modes de prises de vue différents à l’avant. Outre la photo et la vidéo, on aura aussi accès à un mode portrait et à un mode vision de nuit qui donne une fois encore des résultats intéressants.

Google s’est montré très généreux sur la vidéo, avec toute une profusion de formats différents. 

Au mieux, on pourra donc filmer en 4K à 60 images par seconde… ou en 1080p à 240 images par seconde.

Et ça fonctionne bien. Les séquences sont une fois encore de qualité, avec une belle dynamique et un piqué omniprésent. Rien à dire non plus au niveau de la colorimétrie, si ce n’est que j’aurais vraiment apprécié un profil de couleur flat afin de faciliter le travail d’étalonnage.

Il y a en revanche une limite importante à souligner. La caméra frontale se limitera au 1080p avec une cadence de 30 images par seconde.

Le Pixel 5 peut parfaitement être utilisé à une main
Le Pixel 5 peut parfaitement être utilisé à une main
Et oui, on peut aussi regarder des séries sur le Pixel 5. D'ailleurs, je vous conseille To The Lake qui est très sympa... et un peu de circonstance
Et oui, on peut aussi regarder des séries sur le Pixel 5. D’ailleurs, je vous conseille To The Lake qui est très sympa… et un peu de circonstance

Fonctions

Cela ne surprendra absolument personne, mais le Pixel 5 est livré avec la toute dernière version de la plateforme mobile de Google et donc avec Android 11. 

Je l’avais un peu évoqué lors de mon test du Pixel 4a, mais vous avez été plusieurs à me demander de vous en montrer un peu plus. On va donc revenir rapidement sur la plateforme.

L’interface, pour commencer, est extrêmement agréable à utiliser. On conserve une belle cohérence au sein de tous les menus, et le système de navigation par gestes s’avère proprement redoutable une fois qu’on le maitrise. On appréciera notamment le passage d’applications en applications qui fait gagner un temps précieux au quotidien

Dans l’ensemble, une belle sensation de fluidité se dégage de la plateforme, et cette dernière ne s’explique pas uniquement par le taux de rafraichissement du Pixel 5. En réalité, Google a aussi fait un gros travail sur les animations et cela améliore grandement l’expérience utilisateur.

Le système de notifications est toujours aussi efficace. Android 11 regroupera en effet les alertes en fonction des applications, ce qui en facilitera la lecture. Et nous pourrons bien entendu répondre directement à un message depuis la notification sans avoir besoin d’ouvrir l’outil associé, ce qui se traduira une fois encore par un gain de temps au quotidien.

J’ai aussi eu l’occasion de tester rapidement les RCS, qui devraient à terme supplanter et remplacer les SMS. En tout cas, c’est à espérer, car ils apportent une réelle pluvalue aux échanges entre amis.

Toujours au rayon des bonnes idées, on peut également citer les options associées au menu d’alimentation. En plus de l’appui simple, on va effectivement avoir deux nouvelles actions : l’appui double pour accéder à Google Assistant et l’appui prolongé pour activer Android Pay mais aussi les options relatives aux équipements connectés de la maison. Des équipements qui seront automatiquement détectés et qui seront symbolisés par des tuiles avec lesquelles vous pourrez directement interagir. Ce qui vous permettra, par exemple, d’allumer vos lampes Philips Hue sans avoir besoin de lancer l’application associée.

J’ai aussi beaucoup apprécié les fonctions de bien être numériques. Non contentes de représenter visuellement nos usages, elles permettent aussi d’accéder à pas mal de fonctions intéressantes comme le mode sans distractions… ou le mode coucher. Un mode que vous pourrez activer automatiquement aux heures de votre choix et qui aura pour effet de couper les notifications… mais aussi de basculer l’écran du téléphone en nuances de gris pour que nous nous en désintéressions.

Et on pourrait continuer comme ça pendant longtemps. Android 11 propose en effet énormément d’options intelligentes et bien pensées. Je pense notamment à l’écran des comptes, qui liste à un seul et même endroit tous les comptes configurés sur le téléphone ou encore les options ayant trait à la confidentialité de nos données, un sujet très sensible et parfaitement dans l’air du temps.

Il y a aussi un autre avantage propre aux Pixel ; les mises à jour. Ils sont en effet parmi les premiers à bénéficier des nouvelles versions d’Android, là où beaucoup de constructeurs mettent plusieurs mois à les déployer.

Rien à dire sur la dalle, elle est de bonne qualité
Rien à dire sur la dalle, elle est de bonne qualité
Le terminal est peu salissant et il ne glisse pas
Le terminal est peu salissant et il ne glisse pas

En Conclusion

Que peut-on dire du Pixel 5 ? Que du bien. Comme indiqué dans l’intro de ce test, le Pixel 5 n’est pas le plus puissant, c’est vrai. Il ne propose pas non plus la charge la plus rapide du marché et il se limite à seulement deux capteurs photo là où beaucoup de ses concurrents montent à trois, quatre et plus si affinités.

Mais en réalité, cela n’a que peu d’expérience. Au delà de la fiche technique, il faut aussi raisonner en terme d’expérience. Et en la matière, la Pixel Expérience est l’une des meilleures qui soient.

Pour moi, c’est un grand oui. Ce Pixel 5 est redoutable et il fait clairement parti de mes coups de coeur de l’année.

[priice_widget id=”YemrJo6mZE”]

YouTube video

2 réflexions au sujet de “Test du Pixel 5, la nouvelle référence en matière de photo”

  1. bonjour

    Merci pour ce test, ce téléphone mérite d’être plébiscité car Google a atteint la perfection

    j’hésite à troquer mon i11 pro pour ce pixel..

    ps: petite correction dans l’article “Mais en réalité, cela n’a que peu d’expérience” ; vous vouliez dire que peu d’importance.

    Cdt

    Répondre
  2. Venant d’un 3a XL ce pixel 5 est un bonheur absolu, à part en effet la qualité d’écoute en mode téléphone, un peu en retrait, mais rien de critique.
    Pour le reste c’est carton plein, j’ai bien fait de faire l’impasse sur le 4.
    La perte du Neural Core ne se fait pas sentir, ce qui en dit long sur l’optimisation du soft…

    Répondre

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.