TEST du PIXEL 6 PRO, le Pixel que tout le monde attendait

Google a récemment dévoilé deux nouveaux smartphones positionnés sur le haut de gamme, le Pixel 6 et le Pixel 6 Pro. Le second m’a accompagné durant deux semaines. Le moment est donc venu de vous faire part de mes conclusions.

Le Pixel 5 a été l’un des meilleurs smartphones de l’année 2020. Compact, mignon, excellent en photo, il a permis à la marque de s’installer durablement sur le marché, notamment grâce à son prix contenu. Toutefois, beaucoup ont reproché à Google de ne pas aller assez loin, que ce soit en termes de finition ou de puissance. Cette année, la marque a donc fait les choses différemment.

Le Pixel 6 Pro en main
Le Pixel 6 Pro en main

Elle a en effet présenté deux modèles, le Pixel 6 et le Pixel 6 Pro. Des modèles qui affichent clairement une montée en gamme et qui n’ont absolument rien à envier aux flagships des concurrents.

Dans cet article, nous allons nous focaliser sur le plus gros modèle.

Un Pixel 6 Pro qui vient jouer dans la cour des grands

Il n’y a pas plus différent d’un Pixel 5 que le Pixel 6 Pro. Les deux appareils ne jouent pas du tout dans la même catégorie, et ce n’est pas simplement une question de taille.

Entendons-nous bien, le Pixel 5 avait beaucoup de charme. Il en a toujours, d’ailleurs. Cela étant, le Pixel 6 Pro bénéficie d’une construction bien supérieure et il suffit de prendre le téléphone en main pendant quelques minutes pour s’en rendre compte.

De face, on retrouve donc un immense écran aux bordures contenues. Un écran légèrement incurvé.

Je sais que les écrans incurvés font débat et que tout le monde ne les apprécie pas. 

Cela étant, la course de la dalle du Pixel 6 Pro n’est pas trop marquée et elle n’entache pas la prise en main générale du téléphone.

Le dos du téléphone est tout bonnement unique. Ici, Google a souhaité sortir des sentiers battus et il a clairement eu raison de le faire. Cet élément de design donne en effet beaucoup de personnalité aux Pixel 6.

Le dos du Pixel 6 Pro lui donne beaucoup de personnalité
Le dos du Pixel 6 Pro lui donne beaucoup de personnalité.

La plaque arrière se compose donc de trois éléments : deux plaques en verre séparées par un bandeau regroupant les optiques et capteurs du téléphone. Un bandeau s’étirant sur toute la largeur de son boîtier. Les plaques, de leur côté, sont teintes en deux couleurs. Et ici, tout dépendra du modèle choisi.

Google décline en effet le Pixel 6 Pro en plusieurs coloris. Enfin, il le fait à l’étranger. Chez nous, malheureusement, un seul modèle est proposé : le noir / gris.

Je ne sais pas pourquoi la firme a fait ce choix. J’aurais aimé qu’elle nous laisse un peu plus de latitude, d’autant que les autres coloris sont vraiment sublimes. Le plus rageant, c’est que le Pixel 6, lui, se décline bien en deux couleurs.

La prise en main est agréable. Les boutons sont tous regroupés sur la tranche droite, le bouton de mise sous tension étant situé au-dessus des contrôles du volume. Contrairement à l’année dernière, le lecteur d’empreintes n’est pas placé à l’arrière, mais directement intégré à la dalle. Je l’ai trouvé à la fois précis et réactif.

La connectique se limite au strict minimum, et donc au port USB Type-C placé sur la tranche inférieure du téléphone. Difficile évidemment d’être surpris, les prises jacks tendent à disparaître de nos smartphones et cela fait quelques années maintenant qu’elles se font de plus en plus rares.

De manière plus générale, le Pixel 6 Pro n’est pas ce que l’on peut appeler un poids plume. L’appareil est en effet très imposant, avec un écran atteignant les 6,7 pouces. Il reste cependant agréable en main, notamment grâce à un poids contenu. Il ne dépasse pas les 210 grammes et on est donc très loin, par exemple, du poids d’un iPhone 13 Pro Max.

Ah, et le téléphone est bien entendu certifié IP68.

Le Pixel 6 Pro de face
Le Pixel 6 Pro de face

Une fiche technique inattaquable

Le Pixel 5 avait beau avoir de nombreuses qualités, certains ont été déçus par sa fiche technique. Le Pixel 6 Pro n’aura pas ce problème.

L’écran, pour commencer, est tout bonnement magnifique. Google a porté son choix sur une dalle OLED de 6,7 pouces, une dalle LTPO atteignant une résolution en 3 120 x 1 440, pour une densité de pixels de 512 ppp. Les contrastes sont bien entendu infinis et la luminosité est suffisamment élevée pour rendre le téléphone utilisable en plein soleil.

Rien à dire au niveau des couleurs. Tout dépendra bien entendu des contenus, mais l’écran du Pixel 6 Pro pourra afficher au maximum 24-bit, soit 16 millions de couleurs. A noter que Google vous laissera le choix entre trois profils : naturel, couleurs rehaussées ou affichage adaptatif.

Quoi qu’il en soit, cet écran est idéal pour les mordus de films et de séries. On prend plaisir à regarder des vidéos dessus et on ne peut que saluer les efforts faits par Google.

D’autant que cette dalle a une autre particularité : elle peut atteindre un taux de rafraîchissement de 120 Hz.

Ici, et sans surprise, Google a opté pour un mode adaptatif. Le taux variera donc en fonction du contenu affiché. Et forcément, pour les joueurs, ça fera toute la différence. Pour les joueurs, mais pas que. Les transitions, les défilements, seront aussi plus fluides et ce haut taux de rafraîchissement participera donc à améliorer l’expérience utilisateur générale.

Ce qui nous amène finalement à un point crucial : Tensor.

Google décrit cette puce comme son premier SoC maison. Toutefois, la firme ne donne que peu d’informations techniques sur son architecture.

J’ai donc installé une application permettant d’accéder aux données techniques de la puce. D’après cette dernière, Tensor serait composé de 8 coeurs répartis en trois clusters, avec une architecture de type big.LITTLE : un cluster regroupant deux coeurs à 2,80 GHz, un cluster regroupant deux autres coeurs à 2,25 GHz et un dernier avec quatre coeurs basse consommation cadencés à 1,80 GHz. L’application indique aussi que les coeurs les plus rapides sont en réalité des Cortex X1, contre des Cortex A76 et A55 pour les deux autres.

Il s'agit ici de la version noire / grise
Il s’agit ici de la version noire / grise

Pour la partie GPU, Google semble s’être tourné vers un Mali G78, une puce que l’on retrouve sur pas mal de configurations. Le tout est épaulé par 13 Go de RAM LPDDR5 et 128 Go de stockage en UFS 3.1. Un coprocesseur Titan M2 est également présent.

On a donc une architecture assez complexe. Mais la question que vous vous posez certainement, c’est de savoir quelles sont les performances de cette puce.

Je ne suis pas vraiment fan de ces solutions, mais j’ai fait tourner Geekbench pour évaluer avec plus de précision la puissance de Tensor. La solution lui a accordé 1 039 points en single core et 2 817 points en multi core.

Pour vous donner un élément de comparaison, l’iPhone 13 Pro obtient un score de 1 713 et de 4 659 points. Le Oppo Find X3 Pro et son Snapdragon 888 atteignent de leur côté les 1 010 et 3 179 points.

Techniquement, donc, Tensor semble être un peu en dessous de ces principaux concurrents. Reste que dans les faits, je n’ai pas constaté de ralentissement ou de lag, même sur de très gros jeux.

Concernant l’autonomie, elle est assurée par une batterie de 5 003 mAh. Sur son site, Google évoque une autonomie moyenne de plus de 24 heures et la promesse est respectée. De mon côté, j’ai tenu en moyenne une journée et demie avec chaque charge.

La charge rapide répond aussi présente, mais elle reste limitée au 30 W. Elle permettra cependant au Pixel 6 Pro d’atteindre les 50 % de charge en 30 minutes. Attention cependant, car il faudra investir dans un chargeur compatible, le terminal étant livré sans bloc.

Autre précision, le Pixel 6 Pro prend en charge le Qi. Un nouveau Pixel Stand a d’ailleurs été présenté, mais nous n’avons pas eu l’occasion de le tester.

Je n’ai pas encore évoqué le volet audio. Google n’a pas lésiné et le Pixel 6 Pro embarque ainsi des haut-parleurs stéréo et trois microphones couplés à un système de réduction du bruit ambiant. Le son restitué par les haut-parleurs est très profond, avec de belles basses.

Rien à dire de particulier pour les appels, si ce n’est qu’ils sont de qualité. Précisons d’ailleurs que le nouveau smartphone de Google prend en charge la 5G.

L'écran du Pixel 6 Pro est légèrement bombé
L’écran du Pixel 6 Pro est légèrement bombé

Un tueur en photo

Les Pixel ont toujours été appréciés pour la qualité de leurs photos. Toutefois, les modèles précédents souffraient d’une limitation technique importante : ils se contentaient de deux focales.

Le Pixel 6 Pro, lui, sera bien plus flexible. A son bord, on retrouve ainsi pas moins de trois capteurs différents.

Le capteur principal atteint les 50 millions de pixels. Google a opté pour une matrice quad bayer avec quatre pixels derrière chaque carré de couleur. Pour l’accompagner, on trouve un grand angle ouvrant à f/1.82 et offrant un champ de vision de 82°, avec un OIS et donc un système de stabilisation optique.

Le second capteur se limite à une définition en 12 millions de pixels. Il est couplé à un ultra grand angle ouvrant à f/2.2 avec un champ de vision de 114°.

Quant au dernier capteur, il atteint les 48 millions de pixels et il est associé à un téléobjectif ouvrant à f/3.5 et offrant un champ de vision de 23,5° et un zoom optique 4x. Il est lui aussi équipé d’un OIS.

Pour compléter l’ensemble, Google a également placé à bord du Pixel 6 Pro un capteur LDAF et donc un autofocus laser.

Et en pratique, le Pixel 6 Pro est capable d’obtenir des résultats tout bonnement déments.

De jour, le Pixel 6 Pro est tout bonnement redoutable, à condition cependant de bien se placer.

L’appareil sera en effet capable de restituer des images très piquées, des images affichant un haut niveau de détails et une dynamique des plus convaincantes. Les couleurs sont naturelles et la mise au point est à la fois rapide et précise. Mieux encore, le terminal sera même capable de restituer une belle profondeur de champ avec un bokeh à la fois doux et naturel.

En revanche, attention aux contrejours. Le terminal est en effet très sensible à l’éblouissement et des halos lumineux assez disgracieux apparaîtront en situation de contrejour ou sur des scènes fortement illuminées. 

Je m’attendais évidemment à ce que la qualité baisse drastiquement en intérieur, mais cela n’a pas été le cas.

En réalité, le Pixel 6 Pro reste précis et efficace même lorsque la luminosité ambiante tend à baisser. On conserve donc un haut niveau de détails et une belle dynamique. Rien à dire sur la mise au point. Je n’ai pas constaté de loupé particulier et le téléphone a compris à chaque fois ce que je cherchais à photographier.

Pour tester le Pixel 6 Pro de nuit, je me suis rendu à Serris. Et encore une fois, l’appareil m’a agréablement surpris. Non content de conserver un beau piqué, il a également su me convaincre par la précision de sa balance des blancs et sur la gestion des artefacts.

Contrairement à beaucoup de terminaux concurrents, il n’a ainsi pas cherché à (trop) éclairer artificiellement la nuit. Le rendu est donc beaucoup plus naturel et l’ambiance nocturne est très bien respectée.

En revanche, j’ai constaté une fois encore une certaine sensibilité aux éblouissements.

Le Pixel 6 Pro, contrairement à son prédécesseur, propose trois vraies focales, avec une amplitude allant du 0,7 au 4x. Bien sûr, il est possible d’outrepasser cette limite, mais à condition d’opter pour un zoom numérique. Dans ce cas, vous pourrez monter à un grossissement en 20x.

Et soyons clairs, les résultats sont édifiants. Sur des scènes bien éclairées, j’ai pu monter à du 5 ou 10x sans problème. Au-delà, les images seront bien entendu un peu moins nettes, mais elles resteront tout de même exploitables.

L’ultra grand angle m’a agréablement surpris. Si le champ de vision est un peu restreint, il conserve un très bon piqué et il ne déforme pas trop les scènes photographiées. 

Mais le Pixel 6 Pro ne s’en tient pas uniquement au grand angle, à l’ultra grand angle et au zoom. Il est aussi capable de capturer de la macro. Il suffira ainsi d’approcher le téléphone du sujet à photographier pour basculer dans ce mode.

Et encore une fois, les résultats sont là. Le Pixel 6 pro arrive à récupérer énormément de détails sur les sujets photographiés. Les textures sont riches, les contours sont nets et on ne peut qu’être admiratif face à l’efficacité du traitement logiciel de Google.

Soyons clairs, le Pixel 6 Pro est une formidable machine à portraits. Non content de produire des images nettes et naturelles, il excelle aussi dans le détourage. Je n’ai pas réussi à le prendre une seule fois en défaut.

Le flou, en revanche, est parfois un peu trop marqué. Fort heureusement, il sera toujours possible de réduire son intensité en passant par Google Photos.

Petite précision qui a son importance. Le Pixel 6 Pro n’excelle pas uniquement en plein jour. Les portraits de nuit sont aussi très convaincants. En réalité, ils vont même au-delà de tout ce que j’ai pu voir jusqu’à présent.

En façade, on va trouver une caméra frontale de 11,1 millions de pixels, avec une ouverture à f/2.2, un champ de vision de 94° et une mise au point fixe.

Une configuration assez traditionnelle, donc. Mais comme souvent avec Google, il ne faut pas raisonner qu’en termes techniques. Le traitement logiciel change tout. Grâce à lui, on gagnera en effet en détail et on obtiendra des images très piquées avec des couleurs naturelles et une très belle dynamique.

Attention en revanche, car le terminal a un peu de mal avec les lunettes dotées de montures transparentes, comme vous pouvez le voir sur ces images.

Mais au-delà des performances techniques pures, c’est surtout le traitement logiciel de Google qui impressionne.

Lorsque vous shootez, si vous ouvrez immédiatement l’image, vous verrez la photo qui a été prise par le téléphone au moment où vous avez appuyé sur le déclencheur. Mais si vous attendez une ou deux secondes, alors vous verrez l’image changer.

Le traitement logiciel s’est activé. Et en toute franchise, il change complètement la donne, surtout lorsque vous shootez dans des conditions lumineuses difficiles. Comme en pleine nuit par exemple.

Mais en plus, on va aussi trouver des fonctions intelligentes et bien pensées du côté de Google Photos, comme la gomme magique qui va vous permettre d’effacer des gens ou des objets sur les photos en quelques secondes. Et si cette dernière aura parfois quelques ratés, elle vous évitera d’avoir à passer par la case photoshop.

Le Pixel 6 Pro déçoit un peu en vidéo. Il est bien entendu capable de produire des images détaillées, avec des couleurs naturelles et une belle dynamique, mais il est très sujet à l’éblouissement et il n’est pas rare de voir apparaître des halos lumineux sur les images tournées dans des environnements très éclairés.

La stabilisation, de son côté, est redoutable, même lorsqu’on filme à main levée, en marchant. L’effet de profondeur de champ est aussi très bien restitué.

Il est en revanche regrettable que Google ne propose pas plus de fonctions tournées vers les vidéastes. J’aurais aimé, par exemple, pouvoir filmer avec un profil très désaturé afin d’avoir plus de flexibilité en post production.

Le poinçon ne tarde pas à se faire oublier
Le poinçon ne tarde pas à se faire oublier

La Pixel Experience

Mais le Pixel 6 Pro a un truc en plus : la Pixel Expérience.

Techniquement, donc, on trouve Android 12 à son bord. Et si vous avez eu l’occasion de lire nos articles précédents à ce sujet, alors vous savez sans doute que cette version place la personnalisation de l’expérience au coeur de ses priorités.

Sans surprise, le Pixel 6 Pro s’inscrit pleinement dans cette tendance. Tout est personnalisable.

Pour commencer, vous allez donc définir un fond d’écran. Lorsque ce sera fait, le terminal va adapter ses couleurs en fonction de l’image choisie. Et si vous voulez aller plus loin, ce sera parfaitement possible, il suffira de vous rendre dans le menu fond d’écran et style pour changer les couleurs de fond ou de base, mais aussi définir la grille d’application ou encore activer les icônes à thème.

Dans ce dernier cas, alors les icônes des applications de Google changeront en fonction du thème activé.

La firme a également accordé le plus grand soin aux widgets, pour les simplifier et les rendre plus discrets. C’est notamment le cas de l’horloge et de la météo. 

C’est très classe, malheureusement, tous les éditeurs n’ont pas encore pris le pli et on espère bien entendu qu’ils passeront vite sur Material You.

Mais la Pixel Expérience, ce n’est pas qu’une jolie interface. Ce sont aussi des fonctions intelligentes, bien pensées et tournées vers l’utilisateur.

Parmi ces dernières, on pourra citer l’affichage d’infos sur l’appelant, mais aussi et surtout la dictée vocale Google Assistant sur toutes les applications. Il sera donc possible d’y accéder depuis Gmail, mais aussi tous nos réseaux sociaux. Et en prime, elle est en plus très efficace.

Toujours au rayon des fonctions à citer, il y a aussi l’outil de traduction intégré aux messages. Il est complètement fou. Non content de traduire les messages qui vous seront envoyés dans votre langue, il vous permettra aussi de rédiger des réponses en français et de les traduire automatiquement et en temps réel dans la langue de votre correspondant. Et une fois encore, ça fonctionne très bien.

Et ce n’est pas encore fini. Il sera aussi possible de traduire des affiches ou n’importe quel autre média de la vie réelle grâce à Google Lens, par le biais du mode « traduire ». 

Il vous en faut plus ? Pas de problème. 

Si vous allez dans les réglages et plus précisément dans le menu consacré à l’accessibilité, vous trouverez d’autres fonctions similaires à activer, des fonctions qui vous permettront par exemple de générer des sous-titres traduits dans votre langue sur tous les médias, même ceux lus depuis votre fil d’actualités Twitter, mais aussi d’accéder à l’outil de transcription instantané qui traduira tout ce que vous dites en temps réel.

On a en prime l’outil de transcription qui fait enfin son entrée en France. Et si ce dernier pourra fonctionner comme un Dictaphone et enregistrer le son capté par les microphones présents à bord du Pixel 6 Pro, on aura aussi un outil de transcription qui devrait faire la joie des journalistes et des interviewers.

Côté sécurité, Google a déployé pas mal de dispositifs afin de protéger nos données. Tensor intègre ainsi un Security Core, mais aussi plusieurs calques de sécurité hardware. La firme promet également 5 années de mises à jour de sécurité, et elle propose en plus un Security Hub qui permet d’avoir une meilleure idée du niveau de sécurité de notre téléphone.

Le menton du Pixel 6 Pro
Le menton du Pixel 6 Pro

Le Pixel à ne pas louper ?

Vous l’aurez sans doute compris, mais le Pixel 6 Pro m’a totalement séduit. Un look original, de belles performances, un module photo flexible, un traitement logiciel sans égal, des fonctions bien pensées et tournées vers l’utilisateur, il a tout pour plaire.

D’autant que derrière, il y a aussi son prix. Un prix qui est fixé à 899 € et qui est bien plus bas que celui de beaucoup de ses concurrents.

Encore plus avec l’offre de précommande mise en place, une offre qui permettra aux premiers acheteurs de repartir avec un casque Bose 700 offert. Soit un casque d’ne valeur de 399,95 €.

2 réflexions au sujet de “TEST du PIXEL 6 PRO, le Pixel que tout le monde attendait”

    • flou sur les bords (beaucoup trop, au point que meme une feuille le texte est pas net sur les bords). en comparatif la photo est mieux avec un pixel3. c’est pas normal…

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