Kunal Nayyar, qui campait le personnage de “Raj” dans The Big Bang Theory, a révélé dans quelles circonstances les scènes de cage d’escalier étaient tournées. À la lumière de cette information, il sera peut-être tentant de relancer le visionnage des douze saisons de la sitcom.
Toute vérité n’est pas toujours bonne à dire, qu’elle concerne l’appréciation négative d’une personne ou un secret de fabrication sur une sitcom très suivie. Même si l’œuvre en question, en l’occurrence The Big Bang Theory, s’est terminée en mai 2019 après 279 épisodes, la magie risque ainsi de disparaître.
D’un autre côté, une anecdote peut permettre aux aficionados de redécouvrir leur programme avec un œil neuf. Il y a peu, Kunal Nayyar, qui jouait le rôle de Rajesh Rayaman “Raj” Koothrappali dans The Big Bang Theory, était l’invité de l’émission britannique “Sunday Brunch”. Il y a raconté comment étaient tournées les scènes de cage d’escalier.
“Raj” de “The Big Bang Theory” révèle des scènes tournées à l’économie
Dans la sitcom de Chuck Lorre et Bill Prady, la plupart des personnages principaux vivent dans le même immeuble. Lequel s’illustre par un ascenseur étant constamment en panne, obligeant ainsi les résidents à monter et descendre un total maximum de quatre étages. L’interprète de “Raj” a indiqué que les scènes n’étaient pas tournées dans un véritable immeuble mais sur un plateau. Autrement dit, les deux escaliers que l’on voit et qui sont censés faire le lien avec les étages inférieurs et supérieurs ne mènent en fait nulle part.
“Voilà comment ça fonctionne : vous descendez les escaliers, et là ils crient ‘attendez !’. Ils changent le décor pour passer par exemple de 1a à 2a ou 3. Ils changent le décor pour qu’il ressemble exactement à un autre étage. Vous montez les escaliers en courant, qui ne vont nulle part, et vous redescendez comme si c’était un nouvel étage.”
Autrement dit, la performance des comédiens allait au-delà de ce que l’on pouvait imaginer. Un gag d’un épisode de la première saison s’appuie même une interminable descente d’étages. Et il n’est sans doute pas le seul, parole de néophyte.
Source : The Independent