Monica Barbaro, l’une des pilotes de Top Gun Maverick, a révélé en quoi elle avait pu tourner les scènes de vol sans avoir à régurgiter son petit-déjeuner. L’actrice a souligné qu’à part un autre collègue de travail, tous ont subi de telles pertes durant ces séquences.
Lever la main pour se proposer au casting de Top Gun Maverick impliquait d’avoir équipé son cœur avec tout un tas de petites lanières, de manière à ne pas lui faire lâcher prise le moment venu. Il faut croire que certains ont accepté d’être de l’aventure sans en avoir mis leur organisme au courant. C’est ce qu’on comprend dans un entretien accordé par Monica Barbaro à Glamour.
L’actrice se trouve être la première pilote femme de la franchise Top Gun, dans le rôle du lieutenant Natasha “Phoenix” Trace. Mais elle a su s’illustrer d’une autre manière sur le tournage de Maverick, en cela qu’elle n’a pas vomi lors des scènes de vol où elle était amenée à avoir la tête en bas.
Top Gun Maverick : “Phoenix” rend hommage à ceux qui vomissaient et continuaient de jouer
Sans donner de nom sur les moins solides de l’équipe, Monica Barbaro leur a rendu hommage pour avoir été capables de rendre et d’enchaîner les prises :
“Beaucoup de gens [ont vomi]. Honnêtement, je leur tire mon chapeau, parce que l’idée de vomir régulièrement et de continuer à faire ce travail est tout simplement insensée pour moi. Je veux dire, ce film était intense sur le sol, sans parler de ce qui se passait dans les airs. En plus de cela, ils devaient vomir, récupérer et continuer à travailler. Jay Ellis [NDLR : le lieutenant Reuben ‘Payback’ Fitch] et moi étions ceux à qui ça n’arrivait pas.”
Mais comment Monica Barbaro est-elle parvenue à autant de contenance ? Grâce à son passé de danseuse :
“Il y a eu un moment amusant où deux des gars disaient qu’ils détestaient avoir la tête en bas, et je leur ai dit : ‘J’ai toujours eu la tête en bas.’ Je faisais des appuis sur les mains avant de voler….. Cela m’aidait à contrôler ces drôles de sensations où le sang se précipite dans des endroits non-désirés.”
Source : Glamour