Voitures européennes : les nouvelles exigences écologiques et sanitaires

De nouveaux règlements régissant le transport terrestre ont été imposés dans les pays membres de l’Union européenne. Il s’agit des essais d’émissions améliorés par lesquels toutes automobiles doivent désormais passer. Baptisés RDE (Real Driving Emissions) et WLTP (Harmonised Light Vehicle Test), ces tests concernent les oxydes d’azote (dont le N02), le dioxyde de carbone (CO2) et les autres polluants atmosphériques.

Le premier test consiste en la mesure de volume d’émission des gaz polluants dans les conditions réelles de conduite. Le deuxième est un essai au laboratoire et complète le premier. L’objectif est de faire de l’Europe le leader mondial de la protection de l’environnement. Les dirigeants de l’UE envisagent de produire d’ici quelques années des automobiles 100 % écologiques.

Pollution voiture

Dans les pays industrialisés comme dans certains pays européens, éradiquer la pollution est devenu une préoccupation majeure.

Halte aux polluants atmosphériques

Comme Jyrki Katainen, vice-président en charge de l’emploi, de la croissance, de l’investissement et de la compétitivité l’a déclaré, la réduction des polluants est une affaire de tous. Les normes et les différents règlements annoncés par la Commission européenne devraient être appliqués rigoureusement. Cela nécessite une intervention de toutes les autorités compétentes concernées.

La concurrence mondiale exige les constructeurs d’automobiles à fabriquer des moteurs à faible taux d’émission. Les défis environnementaux et la préservation de la santé de la population devraient ainsi être au centre de leurs préoccupations.

Place aux différentes politiques antipollution

Les écogestes sont de plus en plus prônés, moyennant différentes méthodes contre la pollution. La venue de ces nouveaux tests d’émissions plus fiables constitue également un meilleur moyen de superviser les automobiles déjà fonctionnelles sur les routes européennes. Sont ainsi à considérer et à respecter les différents critères de référence imposés par les normes de qualité de l’air.

Cela est dit, il convient de renforcer la mobilité à basses émissions. Celle-ci consiste en la substitution progressive des carburants usuels par des biocarburants et l’électrification du transport ferroviaire, le but étant d’aboutir à des véhicules à zéro émission.

L’UE a fourni, fournit et fournira d’importants efforts pour veiller à l’harmonie de l’écosystème et donc à une industrie automobile plus humanisante.

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